Sciences

Peut-on pirater un corps humain

Peut-on pirater un corps humain?


Version audio de l’article

Gemmes

L’ADN est comme une clé unique de chaque humain. Mais est-ce que l’être humain est piratable comme un simple ordinateur?

 

Témoignage d’un ancien CSO de Moderna

Un ancien CSO (Chief Security Officer) de Moderna lance l’alerte lors d’une conférence : «Nous sommes en train de pirater le logiciel de la vie.»

Le Dr Tal Zaks, médecin en chef de Moderna Inc., a expliqué lors d’une conférence TED donnée en 2017 le véritable fonctionnement du vaccin à ARNm de la société.

«Au cours des 30 dernières années,» a-t-il déclaré, « nous avons vécu cette révolution scientifique numérique phénoménale, et je suis devant vous aujourd’hui pour vous dire que nous sommes en train de pirater le logiciel de la vie, et que cela va changer la donne en matière de prévention et de traitement des maladies. »

Le corps humain est composé d’organes constitués de cellules.

Il continue :

  • « Dans chaque cellule, il y a ce que nous appelons «ARN messager» ou «ARNm» en abrégé, qui transmet l’information critique de l’ADN dans nos gènes à la protéine, qui est vraiment l’élément dont nous sommes tous faits. Il s’agit d’une information critique qui «programme» ce que la cellule va faire. Il est comparable à un système d’exploitation.»
    « Donc, si vous pouviez le modifier, si vous pouviez introduire une ligne de code, ou changer une ligne de code, cela va avoir de profondes implications sur tout, de la grippe au cancer. »
    «Or, ce gène est non seulement dans toutes les cellules du corps humain, mais aussi dans tous les organismes vivants».

Le PDG de Moderna  la surnomme la « thérapie de l’information » et a voulu donner l’alerte : « Nous sommes en train de pirater le logiciel de la vie ».

 

Témoignage d’un ancien scientifique de la CIA

Le 17 avril 2018, un ancien scientifique (MD, MA Professeur) de la CIA, Charles Morgan, fit une conférence à l’Académie militaire de Westpoint aux États-Unis, sur le piratage biologique. Ses responsables du Département de la Sécurité Nationale lui avaient demandé de faire un état des lieux sur ce qui était en cours de développement et de donner une projection sur cinq ans dans ce domaine avant de terminer sa carrière auprès d’eux.

Charles Morgan rappelle que les recherches ne sont jamais faites de façon hasardeuses : elles s’étalent sur des années avec des objectifs très précis. Ce sont ces objectifs qui permettent de savoir ce qui va arriver dans le futur puisque c’est sur quoi ils travaillent.

Les objectifs connus :

  • La pensée, le corps et au-delà.
  • Le découpage génétique
  • «Venter and DREADDs». DREADDs  (Designer Receptors Exclusively Activated by Designer Drugs) : Outils chimiogénétiques ayant une utilité thérapeutique.
  • Cryptage de l’ADN
  • «Le passé n’est pas ce qu’il était autrefois…» – par rapport à la mémoire du passé : l’effacer, stocker la mémoire autrement.

 

Le corps n’est jamais un habitacle permanent. Nous le savons puisque nous quittons ce corps lorsque nous mourrons.

Le corps et la pensée sont bien deux choses distinctes :

  • Le corps est comme une enveloppe.
  • La pensée est comme un système d’exploitation dans ce corps.

Ce qui est plutôt une bonne nouvelle pour ceux qui ont un corps qui ne fonctionne pas correctement ou qui a des problèmes neurologiques : on peut agir sur le corps.

 

1ère phase – Un bras robotique actionné par un singe

En 2008, l’équipe d’Andy Schwartz à l’Université de Pittsburg, a créé une interface robotique cérébrale sur des singes. Ces derniers ont été en mesure d’actionner un bras robotisé à petite distance en le manipulant avec leurs ondes cérébrales. Les signaux proviennent du cortex moteur qui sont extraits des câbles pour les envoyer aux ordinateurs et systèmes. C’est comme un détournement des signaux normalement envoyés au cerveau vers le corps pour les passer à leur système qui les convertit pour le bras robotisé. Un ensemble de microélectrodes sont insérées dans le cortex cérébral du singe.

Le système mit au point par les scientifiques peut ensuite décoder ce que le singe à l’intention de faire. Ils sont capable d’enregistrer l’activité de nombreux neurones du cerveau simultanément. Les singes ont un contrôle cérébral sur le bras robotisé et peuvent le manipuler à distance comme si ce bras faisait partie d’eux : ils peuvent se nourrir eux-mêmes avec et faire pleins d’autres choses.

L’apprentissage de cette manipulation est presque automatique. Qu’est-ce que cela veut dire? Lorsqu’un jeune enfant apprend à se servir de ses doigts, il le fait progressivement en établissant des connexions de neurones moteurs et des connexions inhibitrices. En d’autres mots, l’enfant apprend à se servir de ses membres de mieux en mieux en faisant des erreurs et des réussites. C’est pareil avec ces singes et le bras robotisé.

C’était en 2008…

 

2ème phase –  un bras robotique actionné par un humain

Quatre ans plus tard en 2012.

On peut planter des électrodes sur le cerveau d’un humain qui a des lésions neurologiques l’empêchant de contrôler ses membres du corps. Le signal biologique peut être convertit en signal électrique amplifié…

En 2013, l’Institut «UMPC Rehabilitation Institute and the University of PIttsburgh School of Medecine» a lancé l’expérience «ECoG». Un paralysé jusqu’au cou suite à un accident de voiture, Tim Hemmes, a accepté de participer à cette expérience.  L’équipe de scientifiques a placé une grille capable d’enregistrer les signaux du cerveau pour que Tim puisse, avec sa pensée, actionner les pulsions électriques du cerveau. Ces dernières sont décodées pour savoir quelle est l’intention pour la reproduire de manière tangible sur un bras robotisé, un écran d’ordinateur etc.

Pour arriver à ce résultat, Tim a subi une intervention chirurgicale pour qu’on lui implante les microélectrodes sur le cerveau. Puis il a dû apprendre à activer ces nouvelles fonctions par la pensée. L’ordinateur, chargé de convertir ces signaux de pulsions cérébrales en impulsions électriques n’était pas capable de distinguer les signaux qui voulaient dire «haut, bas». Il fallu faire un apprentissage.  Pour le faire, Tim a dû utiliser ses yeux pour  déplacer une balle sur une grille affichée sur l’écran d’un ordinateur afin que ce dernier puisse enregistrer les signaux qui correspondant à chaque mouvement : haut, bas, droite, gauche etc. A sa grande surprise, Tim a découvert que s’il se concentrait beaucoup trop, cela ne marchait pas : cela doit rester naturel. Finalement, le jour arriva où Tim put enfin actionner le bras robotique.

Le principe de ces expériences est de comprendre le mode d’apprentissage du cerveau et comment la fonction motrice est reliée à la pensée.

 

3ème phase – un bras robotique actionné à distance

Un singe peut actionner un bras robotique avec la pensée ainsi qu’un humain. Mais à quelle distance?

Alors les scientifiques imaginèrent une autre expérience : faire marcher un singe qui a appris à activer le bras robotique par la pensée, mais en envoyant les signaux décodés par internet à l’autre bout de la planète, en l’occurrence, au Japon, pour en faire marcher un autre. Et cela a réussi !

On sait désormais que l’on peut envoyer la fonction motrice d’un cerveau à un bras mécanique où qu’il soit dans le monde du moment qu’internet fonctionne.

A voir aussi:  Allons-nous avoir un code-barre génétique?

 

4ème phase – fonctions motrices actionnées par un autre cerveau

 L’autre question est désormais : «est-il possible d’envoyer les fonctions motrices d’un humain vers un autre humain ?». Presque comme «une possession» où l’on contrôle les fonctions motrices d’un autre humain à distance.

Ce sont les scientifiques de l’Université de Washington qui ont réussi à le mettre au point et qui ont appelé cette technique «communication directe de cerveau à cerveau». Ils ont trouvé le moyen de développer cette «puissance cérébrale» et de la transmettre à un autre cerveau. Le Dr Andrea Stokoe qui a participé à cette étude explique que ce n’est plus de la science fiction : on peut désormais lire les schémas cérébraux d’une personne et les transmettre à une autre. Pour l’instant, ils réussissent à transmettre seulement ce qui est basique : les fonctions motrices.  Plus besoin de faire une intervention chirurgicale : un casque mis sur la tête de la personne dite «transmetteur» suffit désormais. Les données sont transmises à un ordinateur connecté à internet qui envoie les données à un autre qui les convertit  en champ magnétique. Ces derniers stimulent les neurones de la zone du cerveau qui contrôle un membre du corps et envoient ces impulsions au casque de la personne dite  «Récepteur». pour reproduire la commande reçue.  

Désormais, un chirurgien peut faire une intervention chirurgicale à distance.

Mais observez l’avancée… D’abord on peut actionner un bras robotique à distance, puis une main humaine à distance… Pour l’instant, cela ne concerne que les fonctions motrices…

 

5ème phase – transférer les fonctions sensorielles à un autre cerveau

L’étape suivante? Si on peut désormais contrôler les zones du cerveau qui concernent la motricité, peut-on aussi contrôler les autres zones du cerveau? Comme les zones du cerveau où sont stockées les souvenirs, les informations sensorielles?  Dans la théorie «oui». Dans la pratique, est-ce que les scientifiques ont cherché à le faire?

Le magazine «Telegraph.co.uk» a fait une émission pour interviewer un chercheur qui a fait des recherches en ce sens. Son équipe a réussi à transmettre des informations venant du cerveau d’un rat vers un autre pour résoudre des tâches tactiles et motrices. Dans l’expérience, chaque rat est mis dans une cage spéciale pour étudier leur comportement. Le premier rat, nommé l’«encodeur», est celui qui effectue un travail tactile en s’aidant de ses pattes avant et de ses moustaches. Pendant ce temps, son activité cérébrale et son comportement sont enregistrés en temps réel pour transmettre les signaux électriques au deuxième rat qui est appelé le «décodeur» dans l’autre cage. Les deux rats ne se voient pas et ne sont pas en contact visuel ou physique.  Le second rat ne fait que recevoir et décoder les impulsions du premier rat. Bien sûr, si le premier rat réussit, par exemple, à actionner un levier qui lui permet d’accéder à une récompense, le deuxième, sous les impulsions, va être encouragé à agir de manière identique pour obtenir le même résultat. Tout comme dans les autres expériences, il a fallu que le deuxième rat apprenne à réagir en fonction des impulsions. Il a fallu 75 essais pour obtenir un résultat avec une précision de plus de 85%. Cet apprentissage était nécessaire car il n’était pas seulement question d’activer le cortex moteur, mais aussi que l’animal apprenne une fonction pour que ce soit enregistré dans le cortex sensoriel : c’est ainsi que l’on transmet une connaissance.

Pour reformuler, cette expérience démontre que l’on peut passer un savoir-faire à un autre sujet, même si ce dernier n’y connaît rien.

On pourrait devenir des «Picasso», apprendre une centaine de langues étrangères…

Suite à cette expérience, la DARPA a reçu l’autorisation d’effectuer cinq cents opérations d’implants d’électrodes cérébrales profondes. Curieusement, ils n’ont encore rien publié sur le sujet.

Mais ce que l’on sait maintenant, c’est qu’il est possible de relier deux cerveaux entre eux pour transmettre :

  • le savoir, les informations sensorielles
  • Les fonctions motrices de l’un vers l’autre.

 

Mais attention : les deux sujets qui se prêteraient à une expérience, doivent toujours, à ce stade de la recherche,  avoir une phase d’apprentissage qui leur est unique. Est-ce qu’un pirate pourrait intercepter la transmission des signaux par internet? Oui, c’est possible, mais ils ne pourraient pas copier et coller leur matrice sur quelqu’un qui n’aurait pas suivi cet apprentissage. Mais il existe bien un «biohacking» – un piratage des données biologiques puisque des scientifiques peu scrupuleux font des expériences illégales pour pousser leurs recherches dans ce domaine : essayer de mettre des cartes-mères dans un cerveau, faire du fishing à l’aide de signaux RIFD dans les mains…

 

Les expériences du CE6

Des personnes se sont portées volontaires pour des expériences sensorielles. Par exemple, certaines ont reçu des gouttes dans les yeux pour obtenir une vision nocturne pendant plusieurs heures, ce qui leur a permis de voir jusqu’à plus de 50 mètres dans l’obscurité. C’est bien plus naturel et confortable que de porter des lunettes ou des lentilles spéciales.

En 2013, la BBC a diffusé un extrait intitulé «Lab rats ‘acquire sixth sense’» (des rats de laboratoire ont obtenu un 6ème sens» où l’on montre une expérience menée par l’Université de Duke. Grâce à des implants, des rats ont pu développer une capacité sensorielle non naturelle : ils sont capables de détecter des lumières infrarouges, ce qui est contraire à leur nature.

Grâce au succès de cette expérience, les scientifiques pensent qu’ils pourront aider les gens à retrouver la vue si on place un implant dans la zone du cerveau qui correspond à celle-ci.

Les applications sont infinies: on peut ajouter un «sixième sens» à une personne selon son métier ou activité qu’elle doit exercer. Imaginez : voir un jour à travers les murs, voir les battements de cœur à travers le corps et bien d’autres choses.

Ce «sixième sens» ouvre aussi la possibilité d’envoyer des communications secrètes dans le domaine de l’espionnage, ou de contrôler les drones militaires ou policiers.

 

Et entre un humain et un animal?

Les scientifiques, dans leur expérience, ont réussi à faire en sorte qu’un humain contrôle les fonctions motrices d’un rat. Imaginez les possibilités : contrôler une meute d’animaux comme une armée… Encore mieux que le science-fiction.  Après tout, contrôler une toute petite souris ou un cafard qui pourrait se faufiler partout, c’est le moyen d’avoir des espions au-dessous de tout soupçon!

D’accord, on peut sourire… Mais c’est désormais possible : toute la technologie est là avec une précision qui permet de cibler exactement le neurone que l’on souhaite activer!

 

Signaux et CRISPR

Le Dr. Venter, en 2010, a permis à la science de faire une avancée majeure en «créant la vie» dans une cellule en utilisant la fonction CRISPR (voir notre article «Le nouveau projet de loi bioéthique 2020-2021» qui l’explique). La fonction CRISPR agit comme des ciseaux, capable d’éditer le code ADN des gènes : on peut reprogrammer les fonctions d’un corps. Et c’est encore mieux que l’histoire de Faust : le Dr. Venter a pu reprogrammer les gènes d’une levure pour en faire du parfum, du pétrole, du peptide… Bref, on peut reprogrammer des gènes en tout autre chose. Nous parlons bien, ici, de cellules vivantes!

A voir aussi:  Le chant des étoiles et la Bible

La médecine envisage de créer des «concepteurs» : concevoir une cellule pour qu’elle pénètre dans votre corps pour libérer le bon «produit» qu’il vous faut. Contrairement au médicament classique, cela ne passerait plus par le foie ou le système digestif.  Cela rappelle le Dr. McCoy dans Star Trek qui avait une seringue spéciale pour injecter aux patients leur traitement de manière instantanée : c’est assez similaire.

Le Dr. Venter a déposé un brevet pour sa découverte. Sa méthode CRISPR offre des possibilités infinies pour programmer les gènes mais aussi pour créer quelque chose qui n’existe pas dans la nature.

Des signaux peuvent être associés à la fonction CRISPR pour activer des instructions : déballer, déplier, produire un produit spécifique dans l’ADN.

Dans le domaine militaire, ils peuvent envisager, si ce n’est pas déjà fait, de modifier le génome de ceux qui doivent intervenir dans des environnements ayant un faible taux en oxygène (haute altitude ou autre). Ou intervenir sous l’eau sans avoir besoin d’oxygène?

En 2011, ils ont fait l’expérience de  la Souris «Forrest Gump». Les scientifiques ont localisé le gène qui rend plus fort. En ajoutant ce gène à des souris, elles ont pu courir six fois plus longtemps que les autres sans se fatiguer.

 

Le concept DREADDS

DREADDS veut dire «Designer Receptors Exclusively Activated by Designer Drugs».

Ce sont des récepteurs créateurs qui peuvent être contrôlés à distance. On peut créer une cellule que l’on transmet à un corps, et l’activer à distance lorsque le cerveau est exposé au bon signal.

Les scientifiques ont réussi à transférer les souvenirs d’une mouche à fruit à une autre en émettant un signal qui est entré dans la rétine grâce à un stimulus lumineux. Ils ont ainsi activé le neurone qu’ils voulaient.

Pour résumer : on a la capacité de créer n’importe quel produit tant que l’on connaît la séquence ADN du sujet et l’insérer n’importe où dans un corps pour le contrôler à distance!

On peut reprogrammer les fonctions motrices et sensorielles d’un humain à distance tant que l’on connaît son ADN.  Ce produit peut avoir une incidence n’importe où dans le corps : sur votre façon de penser, d’agir ce qui peut être un danger si c’est entre de mauvaises mains. Surtout qu’il n’y a pas qu’une seule méthode: l’autre façon d’y arriver est de faire des cellules souches, appelées aussi «cellules divines» parce qu’ elles ont la capacité de se transformer en n’importe quoi, contrairement aux autres cellules de votre corps.  

Avec toute cette technologie désormais disponible pour éditer, créer, programmer une cellule, tout devient possible : vous pouvez activer les fonctions que vous désirez dans le corps d’un autre :

  • Programmer des cellules pour accomplir des activités ciblées et spécifiques.
  • Placer ces cellules où vous les souhaitez.
  • Les contrôler à distance.

En d’autres mots, cette reprogrammation des gènes, lorsqu’elle ajoute des fonctions qui ne sont pas naturelles est du transhumanisme : elle réécrit le code génétique. Point barre.  

 

 

L’encodage de l’ADN dans le corps

L’ADN est crypté mais peut être encodé: c’est-à-dire que l’on peut le programmer. On appelle cette science la «stéganographie» de l’ADN. La Chine a publié de multiples articles sur le sujet… Accrochez-vous bien: on peut cacher des images digitales dans l’ADN des bactéries. Bill Gates et Mark Zuckerberg s’y intéressent (voir notre article sur «les codes poubelles de l’ADN»).  Le Dr. Church, à Harvard, a démontré que l’on peut stocker énormément d’informations dans 1 gramme d’ADN. Le corps humain a en fait le potentiel de stocker énormément de données même informatiques! L’ADN existant dans tous les êtres vivants et jugé comme étant un support de stockage fiable, il va devenir votre ordinateur de demain et faire disparaître celui qui est actuellement sur votre bureau!

 

Effacer et réécrire la mémoire

Vous connaissez peut-être les films de science fiction «Men in Black» où les héros utilisent une sorte de lampe qui flashe sur ceux dont ils veulent effacer la mémoire pour leur redonner une nouvelle version des événements ?

La médecine estime que la mémoire n’est pas une bonne chose lorsque vous souffrez de stress post-traumatique. Ces personnes qui en souffrent passent en boucle un événement qui les a traumatisé. La nouvelle question est : peut-on effacer, modifier la mémoire?

Un projet expérimental intitulé «PKMzeta et ZIP» s’est penché sur le sujet à l’Université de Duke. Ils ont pu démontrer que si on efface l’information se trouvant dans la partie du cerveau qui s’appelle «hippocampe», les souris, soumises à cette expérience, devaient chaque fois réapprendre à trouver leur chemin dans le labyrinthe.

Cette zone est celle où l’on conçoit les souvenirs à court terme ou des souvenirs spéciaux avant de les envoyer dans une autre zone du cerveau qui stocke cette mémoire à court terme. Avec les méthodes que nous avons évoquées dans cet article, on peut programmer une cellule pour libérer, de manière sélective, des «PKMzetas» pour effacer la mémoire. Ils en sont au stade des rats de laboratoires, mais ils œuvrent activement pour trouver une solution qui s’applique aux humains car la zone de l’hippocampe est difficile à atteindre, sauf si vous introduisez quelque chose par le nez vers le sinus (comme une tige de test PCR) ou en retournant l’œil dans sa cavité.  

Qu’est-ce que le transhumanisme?

Le transhumanisme est une philosophie qui croit que l’être humain d’aujourd’hui doit évoluer vers une «version 2» en étant transformé par une haute technologie.

Le but? Transformer les humains en êtres immortels. Le rêve de l’humanité depuis la nuit des temps : échapper à la mort et vivre éternellement.

Mais ils vont très loin dans leur philosophie puisqu’ils utilisent le génie génétique et l’intelligence artificielle pour créer une nouvelle race qui compte se débarrasser de tous les attributs qu’ils considèrent comme étant «une faiblesse» humaine.

Voir celui qui est considéré comme le philosophe majeur du transhumanisme dans l’article «De l’Homo Sapiens à l’Homo Deus».

 

Selon la Bible

Devenir des dieux

La technologie avance à grands pas, seulement, en voulant modifier ce qui fait le cœur de notre être physique, l’ADN, allant jusqu’à toucher les zones du cerveau, les scientifiques tiennent entre leurs mains un énorme potentiel, certes, mais aussi un grand pouvoir sur les êtres vivants : ils peuvent  les contrôler.

La question est de savoir qui en tient les rennes et dans quels buts? Si c’est pour le bien de l’humanité, espérons qu’il y a des contrôles pour éviter les dérives éthiques et de s’assurer que les patients soient informés, selon le code de Nuremberg, des traitements qu’on leur donne.

Au tout début de l’histoire de l’humanité, le serpent proposa, de manière insidieuse, à Eve de devenir des dieux. Ce fut la chute de l’humanité. En voulant être son propre dieu et à mettre le Véritable hors de leur vie, l’humanité commença à devenir mortelle et à connaître toutes les souffrances…

A voir aussi:  Le son de l'hébreu

L’homme était séparé de Dieu, la Source de vie. Mais la Bonne Nouvelle est que Christ est venu afin de rétablir toutes choses.

Jean 17 verset 3.

  • Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ.

L’homme étudie ce qui peut réparer, améliorer l’enveloppe charnelle -le corps- et étudie comment contrôler les humains en agissant sur le cerveau et l’ADN. Mais Dieu nous fait une offre qui préserve notre intégrité d’humain et qui nous fait revenir à ce que nous étions avant la chute de l’humanité : faire de nous une nouvelle créature qui a la vie de Christ qui nous transforme, à condition qu’on le croit (foi) et qu’on Le laisse agir (voir 1 Corinthiens 5 verset 17).

 

Libre arbitre

Dieu a créé les humains car Il désirait avoir auprès de Lui des êtres capable de Le choisir: Dieu nous a donné le libre arbitre. Dans la quête de l’homme à devenir immortel sans Dieu, vont-ils imposer leur vision du futur de l’homme au reste de l’humanité? C’est plutôt ironique que Dieu nous laisse le choix alors que des groupes dans le monde ne veulent même pas nous le donner puisqu’ils croient au transhumanisme!

 

Une marque sur le front et la main

La Bible annonce, depuis 2’000 ans qu’un jour un antichrist exigera que la population mondiale reçoive une marque sur la main ou sur le front: la fameuse marque 666. Sans cette marque, personne ne pourra ni acheter ni vendre. Lorsque cette prophétie a été annoncée, il était impossible à l’époque d’avoir une technologie qui puisse le faire. Mais aujourd’hui? 

Mais il y a une autre anecdote qui est mentionnée pour cette époque :

Apocalypse 9 versets 5-6.

  • Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois; et le tourment qu’elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme.
    En ces jours-là, les hommes chercheront la mort, et ils ne la trouveront pas; ils désireront mourir, et la mort fuira loin d’eux.

Ils n’arriveront pas à mourir… Est-ce que cela veut dire qu’un jour, ils vont finalement, réussis à créer un corps biométrique ou robotique qui contient la conscience d’un humain? Les films de science-fiction ne manquent pas de donner ce genre de scénario comme «Transcendance» sorti en 2014 comme pour nous y préparer, nous le faire accepter. 

 

La manière dont on voit Dieu détermine comment nous voyons l’homme

Notre croyance détermine comment on voit, mais surtout comment on traite l’homme. Les transhumanistes ne croient pas en Dieu et veulent donc créer la nouvelle version de l’homme. Seulement, ils veulent se débarrasser de ce qu’ils jugent être des faiblesses. Si on écoute ce qu’ils disent, le corps biologique serait graduellement remplacé par un robot qui logerait la conscience humaine. Un robot gardant seulement la conscience d’un être humain comme dernier morceau de ce qu’il était.

 

Que faut-il retenir ?

Des années se sont écoulées depuis que les premières expériences de contrôle de zones de cerveau à distance ont été faites. Inutiles de dire que leurs outils, leurs programmes sont devenus bien plus sophistiqués depuis.

Les transmissions entre cerveaux créaient juste une sensation qui stimulait un ensemble de neurones pour déclencher une action ou à transmettre une connaissance. Imaginez ce qui peut se passer de nos jours?

Au début, les sujets devaient être opérés pour recevoir les implants. Puis, la chirurgie est devenue caduque, remplacée par un casque «EEG» qui fait passer le signal par la rétine sans que le sujet en soit conscient mais que son cerveau décode.

La méthode CRISPR permet de reprogrammer les gènes vivantes.

Le corps humain a une énorme capacité de stockage dans son ADN de bactéries, ce qui pourrait être une nouvelle manière de programmer les cellules pour stocker et cacher des informations : votre corps deviendrait un «ordinateur», stockant tous ce dont vous avez besoins (dossiers photos etc.). Internet a diffusé les premières images (dont une «.gif» qui est une image animée comme une mini-vidéo) qui avaient été encodées dans l’ADN et qui ont pu être «décodées». Quand les bactéries se reproduisent, elles peuvent faire durer cette information très longtemps. Et cette information n’est pas «scanable» puisqu’elle est cachée dans une bactérie qui requiert bien d’autres moyens pour retrouver l’information.

Ce n’est plus de la science-fiction.

La Chine le fait et quels autres pays? Ils cherchent même à trouver le moyen de stocker l’ADN en utilisant la physique quantique.

Mais ces débouchés peuvent être à la fois utilisés pour le bien-être de l’humanité aussi bien que pour sa perte. On pourrait avec la méthode CRISPR, par exemple, cibler une seule personne dans le monde pour la tuer ou la soigner. On peut guérir des anomalies génétiques ou accidentelles et corriger le gène mal-formé ou créer celui qui manque, mais faire le contraire. Le potentiel est énorme et tout dépend de ceux qui l’utiliseront.

Seulement à ce jour, ceux qui font des recherches dans ce domaine sont inspirés par ceux qui croient au transhumanisme : l’homme va-t’il devenir un objet connecté qui perdra son âme au fil du temps?

Heureusement, Dieu nous donne le fin mot de l’histoire!

 

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Plus de détails, sources et références sont donnés dans la section ci-dessous « En savoir plus… ».

 

Ce que dit la Bible

Commentaires

Ecritures

Voici le mensonge que le serpent utilisa pour tromper Éve.

Genèse 1 versets 4-5.

 Alors le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez point; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.

 

Sources externes

Articles :

En anglais

Vidéos à rechercher :

En Français

En anglais

  • ??https://www.technocracy.news/modernas-top-scientist-we-are-actually-hacking-the-software-of-life/)

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