Comment Hitler eut les pleins pouvoirs
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Gemmes
En 1933, Hitler obtint les pleins pouvoirs, mettant ainsi en place une dictature nazie. Comment l’Allemagne en est-elle arrivée là ?
Regardons ensemble.
Histoire
La Constitution de Vienne ne prévoyait pas que le pouvoir Exécutif puisse obtenir les pleins pouvoirs. Exceptionnellement, il pouvait y avoir des lois-cadres limitées dans le temps pour agir dans le domaine économique et financer mais sous le contrôle de commissions parlementaires ou mixtes.
Mais un de ses articles, le 48 2e alinéa, permet qu’un président puisse prendre des décrets d’urgence. Mais comme toutes bonnes choses, certains présidents avant Hitler, en avaient déjà abusé pour imposer des lois qui auraient été refusées par le Parlement.
30 janvier : Hitler devient Chancelier
Lorsqu’Adolf Hitler monte au pouvoir le 30 janvier 1933, il exige de nouvelles élections législatives pour renforcer le pouvoir de son parti au Parlement.
1er février : dissolution des Chambres parlementaires
Le président d’alors, Paul von Hindenburg, signa un décret le 1er février pour dissoudre les chambres et fixer les élections au 5 mars.
Hitler, désormais chancelier, utilise ses nouveaux pouvoirs pour interdire la parution des médias qui critiquent son gouvernement et interdit les rassemblements publics. Les membres de la SA (section d’assaut paramilitaire du parti national-socialiste des travailleurs allemands qui soutient l’ascension d’Hitler) perturbent les réunions des opposants politiques des nazis et les tabassent.
Et les médias font leur part pour que le peuple entende le bien-fondé de leurs agissements. Joseph Goebbels s’en occupe et ne manque pas d’organiser la retransmission des discours enflammés d’Hitler par radio dans tout le pays.
27 au 28 février : le bâtiment du Parlement est en feu
La nuit du 27 au 28 février, le bâtiment du Parlement prend feu : les nazis dénoncent un «complot communiste» alors que beaucoup de leurs hommes y étaient certainement pour quelque chose. Ils utilisent cet incident pour présenter un décret d’urgence au président Hindenburg qui le signe le 28 février. Et cet incendie criminel (si, si)(1) donne le jour au «Décret de l’incendie du Parlement» qui restreint les droits de :
- Liberté individuelle,
- Liberté d’expression et de presse,
- Le droit de se réunir et de s’associer.
Là encore, les médias sont monopolisés pour démontrer le bien-fondé de cette décision. La SA parcourt le pays à la chasse aux opposants politiques. Locaux sont saccagés et les membres sont mis en prison par milliers.
Lorsque les élections arrivent, le parti nazi réussi à remporter 43,9% des voix et dispose d’une majorité simple au Parlement (288 élus).
Comme le bâtiment du Parlement a brûlé, la session d’ouverture se déroule dans l’église de la garnison de Potsdam – site hautement symbolique de la monarchie prussienne.
Préparation de la loi qui concède pleins pouvoirs à l’exécutif
La première séance du Parlement s’ouvre à l’opéra Kroll le 23 mars 1933. Hitler lance une menace :
- «le gouvernement de soulèvement national est déterminé et préparé à prendre acte de l’annonce d’un rejet et donc de la proclamation d’une résistance. C’est à vous, Messieurs, qu’il appartient à présent de décider si nous aurons la guerre ou la paix».
Il faut savoir qu’il a posté des membres de la SA et SS tout autour du bâtiment… Son discours est accueilli par des ovations au milieu d’une atmosphère qui ressemble étrangement à un état de siège.
C’est dans ce contexte qu’il veut faire passer une loi qui modifie radicalement la Constitution car elle enlève le pouvoir législatif au Parlement. Seulement il n’a pas la majorité des deux tiers. Il faut donc ruser.
Les députés communistes sont déjà en prison… Hermann Göring, alors président du Parlement, va donc décider – et sans base légale – , que l’on peut exclure le nombre de députés communistes et compter les députés absents comme présents. Ben voilà, c’est fait : on a le minimum de parlementaires requis pour procéder au vote ! Hitler obtient ainsi la majorité aux deux tiers.
Le Centre accepta de voter «pour» à condition que l’église catholique des régions du Sud ne soit pas affectée et que la justice reste indépendante. Ils demandent aussi qu’Hitler promette, par écrit, que le président puisse conserver un droit de véto. Hitler ne rédigera jamais ce document et ne respectera jamais cet engagement…
Un seul parti ose s’élever contre cette loi malgré les menaces : celui du parti social-démocrate d’Otto Wels qui s’oppose fortement. Sous les jurons des membres de la SA, il réussit à dire avec dignité :
- «Aucune loi ne vous donnera le pouvoir d’anéantir des idées qui sont éternelles et indestructibles (…). Nous saluons les persécutés et les brimés. Nous saluons nos amis dans le Reich (…). Le courage de leurs convictions, leur confiance restée intacte sont les gages d’un avenir meilleur.»
Comme les discours avaient dû être préparés et soumis à l’avance, Hitler avait préparé sa réponse :
- «Vous vous figurez que votre étoile peut se lever de nouveau. Messieurs, c’est l’étoile de l’Allemagne qui va se lever, et la vôtre qui va pâlir (…). L’Allemagne sera libre, mais pas grâce à vous.»
Hitler précise que ce projet de loi qui va être soumis au vote est «par respect de la légalité»… (si, si…)
23 mars – Loi accordant pleins pouvoirs
La loi lui accordant les pleins pouvoirs est donc votée par 444 votes « pour » et 94 votes « contre » le 23 mars.
Tous les partis de droite votèrent «pour» et les socialistes «contre».
Cette loi pris effet le lendemain avec une période renouvelable de quatre ans.
Seul un quotidien libéral, le Vossische Zeitung dénoncera ce stratagème.
Le parti socialiste, tant qu’à lui, se tiendra à carreau : pas de grève générale ni insurrection bien qu’il dispose de milices armées.
C’est ainsi que cette loi de 1933 abrogea la séparation des pouvoirs… Hitler gouverne par décrets avec ou sans l’aval du président Göring.
C’est, bien sûr, pour « le bien du peuple », puisque cette gentille loi s’intitule – si on traduit- «Loi du 24 mars 1933 de réparation de la détresse du peuple et du Reich». Pour résumer, Adolf Hitler détient officiellement les pleins pouvoirs pour agir dans le but de «protéger le peuple allemand». Le ministre de l’Intérieur, Hermann Göring, recrute pour lui 50’000 hommes pour sa SA, le Stahlhelm (auxiliaires de police), leur donnant ainsi l’assurance de pouvoir agir en toute impunité contre ce tout ceux qui s’opposent à la «protection du peuple allemand». Et leurs intentions ne trompent pas : ils s’en prennent aux communistes qui sont envoyés en détentions et camps et aux socialistes et membres du centre (Zentrum).
Cette loi sera reconduite en 1937, 1939, 1943 puis considérée comme ayant une validité illimitée. Le parti DNVP sera dissolu le 26 juin 1933 et le parti Démocrate allemand le 28 juin, le parti populaire allemand le 4 juillet le Zentrum (Centre) le 5 juillet.
Les partis socialistes et communistes seront définitivement interdits le 14 juillet 1933 et le parti nazi instauré comme parti unique.
2 août 1934 : Hitler président ET chancelier
Le 2 août 1934, le président Hindenburg meurt des suites d’un cancer du poumon à l’âge de 86 ans. Hitler assumera les deux fonctions de président et Chancelier : un régime totalitaire jusqu’au bout !
Cette loi resta en vigueur jusqu’à la chute du régime nazi, en mai 1945.
Et la France ?
Est-ce que la France a une telle loi ?
L’article 16 de la Constitution française date de la Cinquième République, adoptée en 1958. Il permet au Président de la République de prendre des mesures exceptionnelles en cas de crise grave, menaçant l’intégrité du territoire, l’indépendance de la nation ou l’exécution des engagements internationaux.
Mais il s’applique sous certaines conditions :
S’il existe une menace grave et immédiate susceptible de remettre en cause :
- L’intégrité du territoire,
- L’indépendance de la nation
- L’exécution des engagements internationaux.
- L’interruption du fonctionnement régulier des pouvoirs publics.
Déclenchement de l’application de l’article
Il doit consulter officiellement le Premier ministre, les présidents des deux chambres du Parlement (Assemblée nationale et Sénat) et le Conseil constitutionnel.
Si la décision est validée, le Président de la République en informe la Nation par un simple message.
Le contrôle politique
Ces mesures ont pour but d’accomplir la mission des pouvoirs publics constitutionnels dans les moindres délais. Le Parlement se réunit de plein droit et peut, à tout moment, réunir en Haute Cour pour évoquer le manquement du Président à ses devoirs.
- « Après trente et soixante jours d’exercice des pleins pouvoirs du président de la République dans des circonstances exceptionnelles, le Conseil constitutionnel peut émettre un avis quant aux motifs ayant justifié la mesure des pleins pouvoirs. »
A-t-il déjà été appliqué ?
L’article 16 a été utilisé une seule fois dans l’histoire de la Ve République, par le général de Gaulle pour répondre au coup d’État des généraux en Algérie française du 23 avril au 29 septembre 1961.
Révision constitutionnelle
La Constitution ne peut pas être révisée pendant la mise en œuvre de l’article 16 (article 89 alinéa 4 de la Constitution).
Selon la Bible
Il y eut, dans la Bible, plusieurs « putsch». Des proches, que ce soit des militaires, de la famille et même des serviteurs assassinèrent le roi en place.
Le putsch d’Absalom
Mais l’histoire la plus connue est celle d’Absalom qui utilisa la séduction, la tromperie et une bonne campagne de communication sur le long terme.
Absalom était un des fils de David. Seulement, il se prenait pour «quelqu’un».
2 Samuel 15 verset 1.
- Après cela, Absalom se procura un char et des chevaux, et cinquante hommes qui couraient devant lui.
Or, Dieu avait dit qu’un roi ne devait pas avoir un grand nombre de chevaux…
Deutéronome 17 verset 16.
- Mais qu’il n’ait pas un grand nombre de chevaux; et qu’il ne ramène pas le peuple en Égypte pour avoir beaucoup de chevaux; car l’Éternel vous a dit: Vous ne retournerez plus par ce chemin-là.
Pourquoi ? C’est un peu comme le nombre de chevaux dans une voiture… LOL. Dieu ne désire pas que « notre rang » social finisse par une démonstration ostentatoire prouvant ainsi que le pouvoir nous est monté à la tête. Un principe de bon sens.
Un roi au service du peuple
Un roi est au service du peuple : c’est son ministère – un mot en latin qui vient du mot «serviteur» (en latin «ministreis» du mot «minus» contrairement à «magis» d’où provient le mot «magistrale»). En d’autres mots, le roi doit être un homme humble qui estime les autres.
1 Timothée 3 verset 2.
- Il faut donc que l’évêque soit irréprochable, mari d’une seule femme, sobre, modéré, réglé dans sa conduite, hospitalier, propre à l’enseignement.
La sobriété consiste à ne pas être excessif dans sa conduite et d’être modéré, donc modeste.
Romains 12 verset 3.
- Par la grâce qui m’a été donnée, je dis à chacun de vous de n’avoir pas de lui-même une trop haute opinion, mais de revêtir des sentiments modestes, selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun.
Mais voici le stratagème qu’Absalom utilisa pour gagner la faveur du peuple :
2 Samuel 15 versets 2 à 6.
- Il se levait de bon matin, et se tenait au bord du chemin de la porte. Et chaque fois qu’un homme ayant une contestation se rendait vers le roi pour obtenir un jugement, Absalom l’appelait, et disait: De quelle ville es-tu? Lorsqu’il avait répondu: Je suis d’une telle tribu d’Israël, Absalom lui disait: Vois, ta cause est bonne et juste; mais personne de chez le roi ne t’écoutera.
Absalom disait: Qui m’établira juge dans le pays? Tout homme qui aurait une contestation et un procès viendrait à moi, et je lui ferais justice.
Et quand quelqu’un s’approchait pour se prosterner devant lui, il lui tendait la main, le saisissait et l’embrassait.
Absalom agissait ainsi à l’égard de tous ceux d’Israël, qui se rendaient vers le roi pour demander justice. Et Absalom gagnait le coeur des gens d’Israël.
La Bible précise qu’il le fit pendant 40 ans. Il mit 40 ans à saboter la bonne réputation de son père, alors roi, pour faire croire qu’il serait mieux que lui.
Grâce à sa campagne de communication sur le long terme (il n’avait pas internet !), il réussit à rallier les gens pour «son parti». Quand il vit que les gens étaient prêts à le suivre, il passa à l’acte et prit le trône par la force. David dû prendre la fuite jusqu’à ce que Dieu change les circonstances pour qu’il revienne sur le trône. Absalom mourut, tué par un des généraux de David malgré l’interdiction de ce dernier de toucher à son fils.
La Bible répète que si un royaume tombe, c’est parce qu’il s’est éloigné de Dieu. Non pas parce que Dieu «fait tomber» une nation, mais si une nation Le rejette, elle rejette aussi ses principes (l’intégrité, la justice, la bonté…) et finit par s’autodétruire.
Le Corps du Christ est responsable de prier pour ceux qui occupent une place d’autorité, même ceux que l’on estime peu :
1 Timothée 2 versets 2-4.
- J’exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté.
Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité.
Que faut-il retenir ?
Un dictateur arrive souvent de manière sournoise, tout comme Absalom et Hitler qui présentent leur cause politique comme étant la meilleure «pour le peuple».
Tous deux ont utilisé les médias pour rallier le peuple à leur cause.
Il y a pourtant des signes qui ne trompent pas :
Si les discours, les textes ne correspondent pas aux actions, on peut tirer la sonnette d’alarme. La loi «pour la protection du peuple allemand» leur donnait-elle vraiment une protection en restreignant la liberté d’expression, de se réunir et s’associer avec une organisation paramilitaire qui imposait son unique parti dans tout le pays ?
Proverbes 29 verset 2.
- Quand les justes se multiplient, le peuple est dans la joie; Quand le méchant domine, le peuple gémit.
Jésus l’a bien dit : on reconnaît l’arbre à ses fruits…
Matthieu 7 verset 18.
- Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.
Proverbes 29 verset 12.
- Quand celui qui domine a égard aux paroles mensongères, Tous ses serviteurs sont des méchants.
On reconnait le caractère de celui qui domine par les personnes qui l’entourent.
Ne pas oublier que le Corps du Christ est responsable de prier pour ceux qui occupent une place d’autorité car leurs décisions impactent tout le peuple et leur avenir (2).
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Vous trouverez plus de détails, les références et les sources dans la section ci-dessous « En savoir plus… ».
Référence (1)
L’incendie criminel ravage le palais du Reichstag, siège du Parlement allemand à Berlin, dans la nuit du 27 au 28 février 1933.
Les nazis crieront tout de suite à un complot communiste. Pourtant, ils arrêteront un seul militant conseilliste néerlandais Marinus van der Lubbe le soir-même et en arrêteront quatre autres après. L’avocat fait voler en éclats la thèse du complot communiste, mais Marinus sera jugé coupable et condamné à mort. Des historiens se divisent entre deux thèses : un complot directement organisé par les nazis, ou un acte individuel utilisé par les nazis.
Pour en savoir plus : Wikipédia (fr) : Incendie du Reichstag.
Ce que dit la Bible
Commentaires | Écritures |
Référence (2) Dieu nous exhorte à prier pour ceux qui occupent un poste d’autorité. Se rappeler qu’à l’époque, c’était les Romains qui gouvernaient et donc des « étrangers » dans leur pays qui imposaient d’autres Dieux et qui persécutaient les chrétiens. Bon ou mauvais gouvernement, il faut prier pour eux ! | 1 Timothée 2:1-4 J’exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté.
Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité. |
Référence (3) Les qualités d’une personne dans le ministère – au service des autres. | 1 Timothée 3 versets 1-5. Cette parole est certaine: Si quelqu’un aspire à la charge d’évêque, il désire une œuvre excellente. Il faut donc que l’évêque soit irréprochable, mari d’une seule femme, sobre, modéré, réglé dans sa conduite, hospitalier, propre à l’enseignement. Il faut qu’il ne soit ni adonné au vin, ni violent, mais indulgent, pacifique, désintéressé. Il faut qu’il dirige bien sa propre maison, et qu’il tienne ses enfants dans la soumission et dans une parfaite honnêteté; car si quelqu’un ne sait pas diriger sa propre maison, comment prendra-t-il soin de l’Église de Dieu? |
Une nation périt lorsqu’elle OUBLIE dieu et n’ECOUTE PAS Sa parole. En d’autres termes, quand elle rejette dieu et fait tout SANS LUI. | Deutéronome 8 versets 19-20. Si tu oublies l’Éternel, ton Dieu, et que tu ailles après d’autres dieux, si tu les sers et te prosternes devant eux, je vous déclare formellement aujourd’hui que vous périrez. Vous périrez comme les nations que l’Éternel fait périr devant vous, parce que vous n’aurez point écouté la voix de l’Éternel, votre Dieu. |
Paul, apôtre et qui a écrit une grande partie du Nouveau Testament se déclare serviteur de Jésus-Christ. | Romains 1 verset 1. Paul, serviteur de Jésus Christ, appelé à être apôtre, mis à part pour annoncer l’Évangile de Dieu, |
Pierre rappelle aux croyants qu’il faut être humble devant Dieu et pour recevoir de Lui. | 1 Pierre 5 verset 5. De mêmes, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d’humilité; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles. |
Absalom et Hitler ont recherché le pouvoir. | Proverbes 11 verset 2. Quand vient l’orgueil, vient aussi l’ignominie; Mais la sagesse est avec les humbles.
Jacques 4 verset 6. Il accorde, au contraire, une grâce plus excellente; c’est pourquoi l’Écriture dit: Dieu résiste aux l’orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles. |
Dieu regarde au coeur. Un chef doit craindre dieu et être intègre. | Exode 18 verset 21. Choisis parmi tout le peuple des hommes capables, craignant Dieu, des hommes intègres, ennemis de la cupidité; établis-les sur eux comme chefs de mille, chefs de cent, chefs de cinquante et chefs de dix. |
Sources externes
Articles:
En Français
- Wikipedia (fr) – Loi allemande des pleins pouvoirs de 1933.
- Wikipedia (fr) – Article 16 de la Constitution de la Cinquième République française.
- Wikipedia (fr) – Loi constitutionnelle du 23 juillet 2008(qui modifia l’article 16 de la Constitution).
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