Lettre ouverte d’un pasteur au Président

Gemmes

Un pasteur a envoyé une lettre ouverte au Président de la République française sur l’intention de déclarer un état palestinien.

Voulez-vous en savoir plus ?

Qui est ce pasteur ?

Le Pasteur Gérald Fruhinsholz vit à Jérusalem avec sa famille depuis 2005.

Il a exercé un ministère pastoral en France pendant 20 ans et a été aumônier de prison pendant 10 ans avant de répondre à un appel pour venir vivre en Israël.

Il est le président de l’association « Shalom Israël » et écrit régulièrement sur des sujets liés à Israël, l’Église et la fin des temps.

Il a également publié des articles sur le conflit israélo-palestinien et la situation à Gaza.

Lettre ouverte

Voici ce que le pasteur a envoyé au Président de la République française le 14 avril 2025

« De Jérusalem,

Pasteur Gérald FRUHINSHOLZ

Monsieur le Président de la République,

Je vous écris depuis Jérusalem, la ville que le Dieu d’Israël a choisie pour y faire résider son Nom à jamais.

Nous apprenons votre volonté de reconnaître un « État palestinien » au coeur de l’Etat hébreu.

Au nom de tous les croyants bibliques, permettez-nous de dire que nous considérons ce projet comme une folie, tant sur le plan historique, spirituel que sécuritaire. La Judée et la Samarie ne sont pas des « territoires occupés », mais l’héritage biblique et historique du peuple juif. Ce sont les collines où Abraham marcha, où David régna, où les prophètes parlèrent.

Le « peuple palestinien » venant d’Egypte, de Syrie, du Liban ne peut légitimement revendiquer le droit sur ce territoire qu’ont occupé les Ottomans turcs durant 400 ans. En revanche, le peuple juif peut revendiquer ce droit ancestral, reconnu non seulement par la Bible, mais aussi par le droit international, depuis la Déclaration Balfour jusqu’au Mandat de la SDN.

Zuheir Mohsen, leader de l’OLP (Organisation de Libération de la Palestine), a déclaré dans une interview au journal néerlandais Trouw (1977) :

« Il n’existe aucune différence entre les Jordaniens, les Palestiniens, les Syriens et les Libanais ».

Il déclara que l’identité palestinienne fut créée pour des raisons politiques, dans le cadre de la lutte contre Israël. Reconnaître un État palestinien aujourd’hui, c’est légitimer une entité dont une large partie est contrôlée par le Hamas, organisation islamiste terroriste, qui a démontré, notamment le 7 octobre 2023, sa barbarie et son rejet absolu de toute coexistence.

C’est donner une récompense à la violence, au terrorisme et non à la paix.

Ce n’est pas un pas vers la solution, mais vers un second Liban au cœur même d’Eretz Israël. Comment pourrait-on reconnaître un tel État alors que ses dirigeants refusent toujours de reconnaître Israël comme l’État du peuple juif ?

Un État sans frontières définies, sans unité politique, sans projet de paix ? Ce serait une erreur stratégique irréparable.

Monsieur le Président, nous vous le disons avec gravité : la Bible dit que « les familles de la terre seront bénies en Abraham, Isaac et Jacob » (Genèse 12), mais l’inverse est également vrai ; ceux qui touchent à Israël touchent à la prunelle de l’œil de Dieu.

La France, « fille aînée de l’Église », doit se rappeler ses racines spirituelles et refuser d’ouvrir la porte à un projet qui serait une base avancée du terrorisme islamique au cœur du Moyen-Orient. 

Je vous exhorte à rester du côté de la vérité, de la justice, et de l’Histoire. L’Histoire jugera ceux qui auront divisé la terre d’Israël.

Ne soyez pas de ce nombre.

Que la France ne soit pas de ce nombre.  Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma haute considération. »

Les faits historiques

Il y a énormément de désinformation sur le peuple d’Israël et sur son histoire parce qu’il y a un enjeu spirituel.

Passons en revue quelques faits historiques (impossible de tout passer au crible ! Il faudrait plusieurs volumes de livres !).

Origine du mot « Palestine »

Le mot Palestine vient du mot « Philistin », les premiers habitants du territoire de Canaan, mentionnés par la Bible. Le pays fut conquis par le peuple d’Israël (voir les livres de Josué, Samuel, Rois, Chroniques etc.).

Israël connu une occupation romaine en l’an 63 avant Jésus-Christ. Pour humilier Israël, les romains changèrent le nom de leur province de « Judée » (tiré du nom « Juda », racine du mot « juif ») par le nom de ses premiers habitants, les Philistins, ennemis jurés des juifs. Le mot « Philistins » devint « Palestine ».

C’est depuis ce temps-là que ce territoire fut appelé officiellement « Palestine » bien qu’il n’y eut, à l’époque, que des israéliens.

Origine du « peuple palestinien »

Le peuple palestinien est récent : Jusqu’à 1948, date de la réhabilitation de l’État d’Israël, il faisait simplement partie du peuple arabe.

Ces « palestiniens » viennent d’Égypte, de Syrie, de Turquie, d’Irak et de tous les pays limitrophes venus gagner leur pain… Tous étaient arabes.

Même wikipedia le confirme dans son article « Origine du peuple palestinien » :

« La population palestinienne, bien qu’elle soit majoritairement arabe et musulmane, n’est pas une entité homogène. »

Avez-vous lu ? « Majoritairement arabe ».

Origine de Yasser Arafat ?

Vous avez entendu parler d’Arafat ?

Il était le premier responsable de l’Organisation de libération de la Palestine et fut le premier à lutter pour la naissance d’un État Palestinien.

Yasser Arafat est né le 24 août 1929, au Caire en Égypte.

Sa mère meurt alors qu’il n’a que 4 ans. Son frère Fathi Arafat — Égyptien comme lui, le prend avec lui pour aller à Jérusalem pour aller chez des oncles côté maternels. Ces derniers sont des muftis chargés des tribunaux islamiques. Il deviendra plus tard le président du Croissant-Rouge palestinien.

Leur père se remarie pour la seconde fois avec une Égyptienne. Il fait rapatrier Yasser au Caire pour que sa sœur aînée s’occupe de lui.

Pendant ce temps, la maison de son enfance sera rasée en 1967 par les autorités israéliennes, lors de l’annexion de Jérusalem Est. Israël avait gagné la guerre.

Au Caire, il bénéficie de l’enseignement gratuit des écoles égyptiennes.

Sa vie changera lorsqu’en 1946, il rencontre le grand mufti de Jérusalem, Mohammed Amin al-Husseini. Il lui portera une grande admiration.

Nous n’allons pas raconter toute sa vie : ce n’est pas l’objet de cet article mais donner les grandes lignes.

Il fera des rencontres clés qui lui permettront de cofonder le Fatah (veut dire ‘Conquête’ – parti politique nationaliste palestinien).

Le Conseil National Palestinien se réunira en avril 1964 pour adopter la Charte nationale palestinienne » qui définit ses objectifs. Un mois plus tard, Nasser, président d’Égypte, réunit la Ligue Arabe pour créer l’OLP.

Le Fatah devient la branche politique tandis que l’OLP devient la branche militaire sous le commandement de différentes armées ARABES.

Le but de l’OLP : combattre l’état israélien.

Il s’approchera pendant un temps des « Frères Musulmans » connus pour leurs actions terroristes et extrémistes.

Fait intéressant : plusieurs pays arabes ont interdit ce groupe dont la Jordanie en avril 2025 et qui a fait fermer leurs bureaux. En effet, ils leur reproche de soutenir le terrorisme sunnite mondial et promouvoir la shariah, de financer leurs actions et de propager leur idéologie dans le monde. Mais ils continuent d’avoir d’autres bureaux ayant pignon sur rue en occident.

Yasser Arafat adopte la barbe à la Che Guevara et l’uniforme militaire sur conseil du KGB (oui, les RUSSES).

Suivant les conseils du KGB dans les années 60, il faisait un double discours.

Devant une audience occidentale, il parle de paix. Mais devant une audience arabe, il parle de luttes, de conquêtes et de sacrifice d’ « un million de shuhada » [martyres] pour la rédemption de la Palestine.

Petite anecdote : Il n’aura jamais réussi à se défaire de son accent égyptien lorsqu’il parlait arabe !

Il se déclara musulman, élargissant son audience et le soutient qu’il pouvait obtenir.

Sa mort est entourée de mystère : Le 10 novembre 2004, il est emmené d’urgence à Clamart, en France, où il meurt à 75 ans.

En 2012, son corps est exhumé pour faire une autopsie suite aux rumeurs d’empoisonnement au polonium.

L’équipe Suisse conclut que c’est le cas, mais les équipes russes et françaises concluent à une mort naturelle de vieillesse suite à une gastro-entérite. L’affaire sera classée sans suite par le parquet de Nanterre en 2015.

Né en Egypte et mort en France avec un parcours où il fut entouré d’Arabes, de russes, d’égyptiens… pour fonder la Palestine, avec un but : combattre Israël !

Les témoignages de voyageurs au XVIII et XIXème siècle en Palestine

Le fameux écrivain français, le Vicomte Chateaubriand, écrit le 20 avril 1819, son voyage en Palestine, notamment, à la ville de Jérusalem.

Extraits (3) : sur sa description de Jérusalem

• « Entrez dans la ville, rien ne vous consolera de la tristesse extérieure ; vous vous égarez dans de petites rues non pavées, qui montent et descendent sur un sol inégal, et vous marchez dans des flots de poussière, ou parmi des cailloux roulants ».
  « Là vivent des religieux chrétiens que rien ne peut forcer à abandonner le tombeau de Jésus-Christ, ni spoliations, ni mauvais traitements, ni menaces de la mort »
  « Quand on voit les Juifs dispersés sur la terre, selon la parole de Dieu, on est surpris sans doute ; mais pour être frappé d’un étonnement surnaturel, il les faut retrouver à Jérusalem ; il faut voir ces légitimes maîtres de la Judée esclaves et étrangers dans leur propre pays. »

Il mentionne des turcs, des arabes, mais aucun « palestiniens » !

Au XVIIIème siècle, le territoire comptait seulement 500’000 habitants.

Au XIXème siècle, la région reprend un peu de vie grâce aux pèlerins qui viennent à Jérusalem, un lieu saint pour les trois religions monothéistes (Christianisme, Juif, Islam).

Un ornithologue du nom de Henry Baker Tristram, a visité Israël en 1836 (1) : il a vu les bédouins faire disparaître des villages entiers. L’année de sa visite, 20 villages furent rayés de la carte. Félix Bovet, un pasteur suisse a écrit dans ses récits de voyage en Israël (2) que ce pays était au niveau le plus bas – un pays en décadence.

Ce pays était comme un «no man’s land» – un pays désertique avec quelques rares villes et une terre ingrate. Des juifs y habitaient déjà mais dans des conditions de vie très difficiles.

Le peu d’habitants qui y habitaient, vivaient dans un pays dévasté et qui avait été abandonné pendant des siècles. D’ailleurs, les premiers Juifs qui revinrent vers la fin du XIXème siècle, eurent beaucoup à faire pour résorber les marécages, les terres insalubres. Beaucoup moururent de maladies dans ces piètres conditions.

Territoires occupés ?

En 1948, et plus tard, à plusieurs reprises, l’armée juive a triomphé des armées arabes. Il s’agit d’une conquête.

Si nous appliquons la logique voulue par bien des pays qu’Israël abandonne les territoires occupés pour qu’ils deviennent un état palestinien, tous les territoires conquis par la guerre devraient être rendus en fin de guerre ? Est-ce que cela semble logique ?

Depuis 1948, Israël a connu plusieurs conflits et guerres avec ses voisins arabes

• La première de ces guerres est la guerre israélo-arabe de 1948-1949 qui a commencé le 15 mai 1948, immédiatement après la déclaration d’indépendance d’Israël. Cette guerre a vu Israël affronter une coalition d’États arabes (Égypte, Jordanie, Irak, Syrie, Liban, Arabie saoudite. Yémen du Nord). Plusieurs pays contre le tout petit pays d’Israël qui venait d’être reconnu par l’ONU, ils pensaient ne faire qu’une bouchée d’eux. Mais, contre toute attente, Israël gagna cette guerre et un accord fut conclu le 10 mars 1949 : cela eut des conséquences politiques, militaires, territoriales et démographiques importantes.

Création de la bande de Gaza

Le 24 février 1949, l’Accord d’armistice Israël-Égypte est signé à Rhodes. Selon l’accord, la ligne d’armistice est établie le long de la frontière internationale (datant de 1906), pour la plupart, à l’exception près de la Méditerranée, où l’Égypte contrôle la bande côtière connue sous le nom de bande de Gaza.

• La guerre des Six Jours en 1967 a vu Israël remporter une victoire rapide et décisive contre l’Égypte, la Syrie et la Jordanie, permettant à Israël de conquérir la Cisjordanie, la bande de Gaza, le Sinaï et le Golan.
  Donc, en 1967, l’Égypte fut chassée de Gaza lors de la guerre de 1967 et, depuis, occupée par Israël.
  Cette occupation fait donc suite à une conquête (victoire suite à une guerre).
• La guerre du Kippour en 1973 a été initialement un succès pour les États arabes, mais Israël a finalement réussi à repousser l’invasion et à reprendre l’initiative militaire.

Depuis 1993, Israël a connu plusieurs conflits avec le Hamas et d’autres groupes palestiniens, notamment la première et la seconde intifada, la guerre de Gaza en 2008-2009 et en 2014, et la guerre Israël-Hamas en cours depuis 2023.

Le Hamas

Lorsque le pasteur dit dans sa lettre « Reconnaître un État palestinien aujourd’hui, c’est légitimer une entité dont une large partie est contrôlée par le Hamas, organisation islamiste terroriste, qui a démontré, notamment le 7 octobre 2023, sa barbarie et son rejet absolu de toute coexistence. »

Selon wikipedia dans son article sur le « Hamas » :

« Selon sa charte fondatrice (1988), qui professe la volonté de destruction d’Israël, et les Principes généraux et politiques qui la remplacent en 2017, le Hamas se définit comme un groupe de résistance fondé pour libérer la Palestine de l’occupation israélienne. »

Golda Meir explique qu’elle avait un passeport palestinien

Golda Meir fut Premier ministre d’Israël. Son passeport était palestinien, comme tous les juifs de l’époque avant la création de l’état Hébreu.

En 1939, le drapeau palestinien arborait l’étoile de David. De Juifs faisaient partie de l’équipe nationale de Palestine. Le peuple « palestinien » n’existe pas et n’a jamais existé. C’est ce que Golda Meir explique lors d’un entretien (9).

La cause « palestinienne » réclamé sur le sol israélien s’oppose au droit international car tous les accords signés à la fin de l’empire ottoman attribuent 20% de la Palestine à l’actuel Israël : Judée Samarie (« Cisjordanie »), Gaza et Golan Compris.

80% de la Palestine ont été attribués aux arabes, soit la Trans-Jordanie (Jordanie). 80% pour les arabes, 20% pour les Juifs.

Israël a été agressé trois fois par 5 armées arabes : suite à leurs victoires, ils ont obtenu ce territoire. C’est un principe qui existe lorsqu’un pays a vaincu un ou plusieurs ennemies : il s’octroie les territoires des vaincus.

Selon la Bible

La première mention des Philistins dans la Bible (mot d’où est issu « Palestine ») indique qu’ils descendent de Canaan (4), le fils de Noé qui fut maudit pour avoir commis un acte répréhensible envers son père.

Les philistins furent un des peuples qui habitèrent le territoire de Canaan. Or, Canaan, ayant que des descendants de Cush maudit par son père, était aussi un territoire sous une malédiction :

Genèse 9 verset 25.

• Et il dit: Maudit soit Canaan! qu’il soit l’esclave des esclaves de ses frères!

Noé, dans cette malédiction annonça le futur du territoire de Canaan et de ses peuples :

Genèse 9 verset 27.

• Que Dieu étende les possessions de Japhet, qu’il habite dans les tentes de Sem, et que Canaan soit leur esclave!

Dieu dirigea Abram pour qu’il parcourt tout le pays de Canaan :

Josué 24 verset 3.

• Je pris votre père Abraham de l’autre côté du fleuve, et je lui fis parcourir tout le pays de Canaan; je multipliai sa postérité, et je lui donnai Isaac.

Pourquoi ? Parce que l’Eternel lui promit cette terre pour sa descendance (6).

Genèse 12 versets 8.

• Abram prit Saraï, sa femme, et Lot, fils de son frère, avec tous les biens qu’ils possédaient et les serviteurs
  L’Éternel apparut à Abram, et dit: Je donnerai ce pays à ta postérité. Et Abram bâtit là un autel à l’Éternel, qui lui était apparu.

Israël (Juda et Israël), infidèle à Dieu et refusant d’écouter Ses réprimandes, fut déportée plusieurs fois à Babylone. Lors de la dernière déportation en l’an 70 après JC, ce fut la diaspora : les juifs furent éparpillés aux quatre coins du globe, abandonnant le territoire d’Israël. Pendant 2’000 ans, une poignée de juifs et d’étrangers vécurent sur une terre ingrate, jusqu’à ce que les prophéties annonçant un jour la renaissance d’Israël arrive en mai 1948 par une résolution de l’ONU.

Voir nos articles sur :

• « Les prophéties sur la 2ème restauration d’Israël »
• « Herzl, sioniste et père fondateur d’Israël ».

Ne pas oublier aussi que Jésus a dit qu’au sein d’Israël, il y a une « synagogue de satan » (2). Donc de « faux juifs » ! D’où un amalgame terrifiant entre les deux.

Il faut voir l’actualité à la lumière des écritures qui montrent à quel point il y a une guerre spirituelle entre Israël et les nations.

Malheureusement, ce n’est pas fini : la Bible annonce à quel point toutes les nations seront contre ce petit pays (7) mais aussi qu’Israël, acculé, se tournera vers les véritable Messie et revivra comme une résurrection d’entre les morts (8).

Versets 12, 15

• Or, si leur chute a été la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des païens, combien plus en sera-t-il ainsi quand ils se convertiront tous.
  (…)
  Car si leur rejet a été la réconciliation du monde, que sera leur réintégration, sinon une vie d’entre les morts?

Israël fait l’objet d’une guerre spirituelle puisque Dieu a promis cette terre aux descendants d’Abraham, ce qui ne plait pas à Satan, l’ennemi juré de Dieu.

C’est la raison pour laquelle il y a tant d’attaques contre ce peuple et tant de mensonges. Beaucoup souhaitent voir ce pays disparaître.

On accuse Israël de tous les maux faisant un amalgame avec les « juifs de la synagogue de satan » (2) dénoncée par Jésus en personne.

Mais l’histoire se terminera bien. Voir Apocalypse 21 : une nouvelle Terre, de nouveaux cieux avec les enfants de Dieu, quel que soit la race, nationalité qu’ils avaient « ici-bas » car Dieu créé un « homme nouveau » (10) !

Que faut-il retenir ?

Cette lettre ouverte a un contenu qui fait polémique.

Soit on croit ce que les médias mainstream et on prend toutes autres informations comme un « mensonge » puisque c’est seul contre tous qu’Israël se bat presque. Soit on s’attache à ce que la Parole de Dieu dit de leur destin, croyant que Dieu ne ment pas.

Qu’en est-il selon vous ?

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