Leurs dernières paroles avant de mourir

Gemmes

Lorsque nous sommes sur le point de mourir, nous voulons que nos dernières paroles soient les plus importantes que nous aimerions laisser à nos proches. Des fois, le temps manque, et les mots expriment ce que l’on voit « de l’autre côté ».
Alors, quelles sont les dernières paroles qu’ont pu prononcer de célèbres personnes se disant « athéistes » ou du moins, « non chrétiennes » ?

Quelques exemples…

Il est important de préciser que les dernières paroles de ces célébrités sont souvent contestées et des fois anormalement nombreuses pour un mourant ! Il arrive souvent qu’on leur mette dans la bouche des paroles dignes de ce qu’ils auraient pu dire dans leurs derniers instants.
Ne pas oublier non plus qu’il y a souvent une volonté de cacher la vérité sur ce qu’il y a « de l’autre côté ».
Alors, à vous de juger et d’approfondir les recherches…

Anton LaVey – fondateur de l’église de satan

Anton Szandor LaVey est certainement le sataniste le plus connu puisqu’il a fondé l’église de satan aux Etats-Unis et a écrit la bible satanique au XXème siècle.

Sur son lit de mort, ses dernières paroles furent :

• « Oh non, oh non, qu’ai-je fait? Il y a quelque chose qui ne va vraiment pas ; il y a quelque chose qui cloche ; quelque chose ne va vraiment pas ! »

Voltaire – Philosophe du XVIIIème siècle

Voltaire, de son vivant, se disait athéiste. Son médecin fut témoin de ses derniers instants et rapporta ses propos avant de mourir:

• « Je suis abandonné par Dieu et l’homme! Je vais aller en enfert. Oh, Jésus Christ !”
  
  

David Hume – philosophe, économiste et historien écossais du XVIIème siècle

Lui aussi, un athéiste notoire, a prononcé avant de mourir, dans un état vraiment désespéré :

• « Je suis dans les flammes !”

Une lettre de David Smith, ami de Hume ne corrobore pas ces propos.

Thomas Payne – philosophe britannique du XVIIème siècle

De son vivant, il fut isolé pour avoir prôné l’athéisme et le radicalisme. Sur son lit de mort, il exprima son désarroi :

• “Je donnerais tout ce que j’ai, si je le pouvais, pour que l’Âge de raison n’ait jamais été publié. Oh, Seigneur ! Aide-moi ! Christ, aide-moi ! Reste avec moi : c’est l’enfer de rester seul. »

Thomas Scott – éditeur et écrivain libre-penseur britannique du XIXème siècle

Thomas Scott , athéiste, a prononcé ces paroles :

• « Jusqu’à présent, je pensait qui’il n’y avait ni Dieu ni enfer. Maintenant, je sais et je sens qu’il y a les deux et que je suis condamné à la perdition selon le juste jugement du Tout-Puissant. »

Aleistair Crowley – Occultiste, franc-maçon au XVIIIème siècle au Royaume-Uni

Aleistair Crowley fut surnommé « l’homme le plus malsain du monde » par ses contemporains à cause de ses mœurs dépravées.

Ces mots sur son lit de mort furent courts :

• « Je suis perplexe. Satan, va-t’en »

Selon la Bible

Mais nous avons une source bien documentée par plusieurs témoins qui nous rapportent les dernières paroles de Jésus.
Sachant qu’Il allait bientôt mourir, Jésus laissa ses dernières instructions à Ses disciples après avoir pris la Communion lors du repas de la Pâque. Et lorsque l’on sait que l’on va mourir, on va droit à l’essentiel. Alors ? Quel essentiel Jésus leur a-t’il donné – ainsi qu’à nous par la même occasion ?

Jean 14 versets 1-4.

• Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi.
  Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.
  Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi.
  Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin.

Plutôt étonnant, non ?
Auriez-vous dit à vos disciples de ne pas s’inquiéter sachant que vous allez mourir une mort particulièrement horrible, comme un criminel ? Et que vos disciples allaient certainement être pourchassés pour subir le même sort ?

Pourtant, Jésus leur dit en long, en large et travers qu’Il ne les laisse pas tout seul et qu’ils n’auront rien à craindre :

Jean 14 versets 26-27.

• Mais le consolateur, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit.
  Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s’alarme point.

Bon… Mais quelles furent les paroles de Jésus à la croix JUSTE avant de mourir ?

Regardons ce que dit chaque Evangile sur les derniers instants de Jésus :

Ses premières paroles furent pour sa mère. Veuve, Jésus devait être jusqu’à présent son soutien financier en tant que fils aîné. Jésus, en dépit de l’agonie qu’Il était en train de vivre, trouve la force de penser au bien-être de sa mère et demande à Son disciple Jean de la prendre chez lui pour désormais s’occuper d’elle.
Auriez-vous pensé à cela au milieu d’une telle souffrance ?
Petite remarque : Jésus n’a pas demandé à l’un de ses frères de le faire… Mais il a remis le sort de sa mère entre les mains du disciple « bien-aimé » !

Jean 19 versets 26-27.

• Jésus, voyant sa mère, et auprès d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère: Femme, voilà ton fils.
  Puis il dit au disciple: Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui.

Dans un deuxième temps, Jésus pria pour ceux qui l’avaient livré sur une fausse accusation, condamné et crucifié comme un criminel. Et en plus, ils se moquent de Lui pendant sa crucifixion !

Luc 23 versets 33-37.

• Lorsqu’ils furent arrivés au lieu appelé Crâne, ils le crucifièrent là, ainsi que les deux malfaiteurs, l’un à droite, l’autre à gauche. Jésus dit: Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. Ils se partagèrent ses vêtements, en tirant au sort. Le peuple se tenait là, et regardait. Les magistrats se moquaient de Jésus, disant: Il a sauvé les autres; qu’il se sauve lui-même, s’il est le Christ, l’élu de Dieu! Les soldats aussi se moquaient de lui; s’approchant et lui présentant du vinaigre, ils disaient: Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même!

Dans un troisième temps, Jésus se tourne vers les deux malfaiteurs qui étaient crucifiés, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche. L’un des deux le provoquait, alors que l’autre reconnu qu’il subissait, contrairement à Jésus, un juste jugement et lui demanda alors de se rappeler de lui après sa mort.

Luc 23 verset 43.

• Jésus lui répondit: Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis.

Au milieu de Son agonie, Jésus eut un sursaut :

Matthieu 27 verset 46.

• Et vers la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte: Éli, Éli, lama sabachthani? c’est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?

C’est le moment où Jésus pris sur Lui nos péchés. Il fut, pour la première fois de Son existence, séparé de Dieu – Son père. Un moment cauchemardesque pour Lui qui n’avait jamais connu ni péché, ni une telle séparation…

Jean 19 versets 28-30.

• Après cela, Jésus, qui savait que tout était déjà consommé, dit, afin que l’Écriture fût accomplie: J’ai soif.
  Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats en remplirent une éponge, et, l’ayant fixée à une branche d’hysope, ils l’approchèrent de sa bouche.
  Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit: Tout est accompli. Et, baissant la tête, il rendit l’esprit.

Jésus a su à quel moment le sacrifice qu’il était en train de vivre était terminé puisqu’il est dit que « Jésus savait que tout était déjà consommé ». Le péché venait tout juste d’être pleinement « payé » à la croix. Jésus fut immolé à notre place pour que nous ne soyons plus séparés de Dieu pour l’éternité.

Il eut soif. Mais au lieu de lui donner de l’eau qui l’aurait ravivé pendant le supplice, ils lui proposèrent du vinaigre.

Puis Il prononça les ultimes derniers mots : « Tout est accompli ». Jésus a vaincu le péché, satan et la mort.

Le livre des Hébreux explique ce que Jésus a accompli pour nous :

Hébreux 2 versets 14-15.

• Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c’est à dire le diable, et qu’il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude.

Que faut-il retenir ?

Il y a quelque chose après la mort. Il existe de nombreux témoignages de personnes – et même d’enfants (1) – sur leur expérience de mort imminente et qui sont revenus avec des récits sur l’enfer, le ciel ou des fois les deux…
Nous ne pouvons pas savoir de quelle manière nous allons mourir : si ce sera par une mort naturelle nous laissant le temps et la raison saine pour se poser des questions de dernières minutes, ou dans un accident ou… meurtre !
N’attendez pas !
L’éternité, c’est bien trop long et surtout sans fin pour négliger votre sort après la mort.

Le péché nous avait séparé pour l’éternité de Dieu, mais Jésus a payé le prix à la croix pour que l’accès à Dieu le Père nous soit ouvert. Allez-vous accepter son invitation à recevoir Sa vie ?

Romains 10 verset 13.

• Il n’y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu’ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent.

Alors ? Comment peut-on recevoir Jésus dans sa vie ?

Romains 10 verset 9.

• Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé.

Il suffit de Le lui demander avec vos mots ou avec une prière du salut similaire à celle que nous avons mis sur une page de notre site.

En recevant Sa vie, vous aurez la force, vous aussi, de prendre soin des gens qui vous sont proches et qui vous entourent, tout comme Jésus l’a fait jusqu’à la croix !

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