Pasteur, imposteur ou pas ?
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Gemmes
Les informations que nous avons prises sont tirées et inspirées d’un entretien de Marc Menant qui a écrit un livre intitulé
« L’inquiétante histoire des vaccins ». Il raconte l’histoire de Pasteur, connu pour sa découverte du principe de vaccination.
L’entretien
Les études démontrent que 33% des guérisons se font sous placébo. C’est plutôt énorme !
Du coup, cela soulève des questions sur la puissance de l’effet psychologique sur la guérison puisqu’au lieu de systématiquement payer et prendre des médicaments, 33% des personnes auraient pu voir leur pathologie se résoudre naturellement sans rien prendre.
Comment se fait-il que la médecine d’aujourd’hui ne tient pas compte de l’effet placébo alors qu’il est reconnu que l’être humain est plus qu’un corps ?
De plus, ces mêmes études révèlent le pourcentage de ceux qui « guérissent » des effets d’un véritable traitement médical serait inférieur à ceux qui guérissent avec un placébo !
Notre société ne cesse d’augmenter la prise de médicaments. Pourtant, nous sommes le pays qui a la liste la plus longue de vaccinations. Ne devrait-on pas revoir l’ensemble de ce système ?
Cette obligation vaccinale commence dès l’âge de deux mois, avant même que le système immunitaire soit totalement « construit ». Est-ce que l’on se pose les bonnes questions ? Comme, par exemple, celle de faire une différence entre un bébé « prématuré » et ceux « normaux » ?
Or, on donne à chaque enfant les mêmes doses vaccinales, en prenant rarement en compte leurs antécédents médicaux, familiaux.
Pourtant, c’est un fait notoire que nous avons tous une réaction « chimique » différente face à un même médicament. C’est la raison pour laquelle les médecins demandent souvent des analyses de toutes sortes : sanguins, urinaires etc. pour savoir quoi prescrire. Mais ils ne peuvent pas prévoir la réaction à un médicament à part se fier à la liste des effets indésirables – et encore.
C’est la même chose pour les vaccins : il y a-t’il vraiment des études qui vérifient les effets positifs et négatifs de ces vaccins sur les individus ?
Avons-nous vraiment le bon système médical ?
Depuis le 1er janvier 2025 en France, nous avons 13 vaccins obligatoires chez les enfants (deux de plus que l’année précédente).
Si l’on compare ce nombre de vaccins à d’autres pays, en Europe, treize pays ont choisi de rendre au moins un vaccin obligatoire pour les nourrissons : Belgique, Bulgarie, France, Grèce, Hongrie, Italie, Lettonie, Malte, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Slovaquie et Slovénie.
Les autres pays font seulement une « recommandation » en matière vaccinale.
Selon le site du conseil constitutionnel français, « À ce jour, il n’existe pas de norme de droit international juridiquement contraignante prévoyant l’obligation vaccinale » (5).
Le principe de vaccination : un héritage
La France a donc une politique vaccinale très spécifique et « lourde ».
Pour quelles raisons ?
Certainement parce que le « père » de la vaccination est français : il s’agit de Louis Pasteur (1822 – 1895).
Il est à l’origine de la médecine moderne dans ce qui se pratique de nos jours.
Vous êtes-vous déjà posé la question pourquoi certains animaux, lorsqu’ils ne sont pas chassés, peuvent vivre extrêmement longtemps sans vaccin… contrairement à l’être humain ?
- Les orques vivent jusqu’à 100 ans,
- L’esturgeon, jusqu’à 125 ans
- Le homard, jusqu’à 140 ans.
- Le requin du Groenland, 270 ans.
- La baleine boréale, jusqu’à 200 ans.
- Les éléphants jusqu’à 150 ans.
- Les tortues des Seychelles, jusqu’à 200 ans
Et l’être humain, qui est censé être l’être le plus évolué de la création ? Entre 70 et 80 ans en moyenne… Ce qui est bien loin de la durée de vie des premières générations décrites dans la Bible (mais il est vrai, avant le déluge) (2)
Aurions-nous développé le principe d’une guerre contre l’infiniment petit qui s’attaquerait à notre corps avec l’obligation de trouver une solution qui est… naturelle ? Ou est-ce chimique ? industriel ?
Et quand en-t’il aussi des « miracles » qui continuent de se produire depuis l’ère des temps et qui défient « la science » ?
Et des solutions alternatives à « la science » ?
Louis Pasteur
Mais revenons à Pasteur.
Il a vécu dans un siècle où la science « explosait » au milieu de l’ère industrielle.
Ses écrits sont nombreux, puisqu’il correspond à sa famille lorsqu’il est en déplacement, mais il conserve aussi l’historique de ses recherches dans ses carnets.
C’est dans ses carnets qu’il admet l’imposture du vaccin contre la rage.
Un de ses contemporains, Emile Roux (1853-1933) dénonce les impostures de Pasteur. M. Roux était l’ex-adjoint de Pasteur, donc bien placé pour savoir ce qui s’est passé. N’étant pas médecin mais surtout chimiste, Pasteur l’avait engagé pour le seconder.
Deux autres contemporains le dénoncèrent comme un imposteur :
- Alfred Vulpian (1826-1887)
- Jacques-Joseph Grancher (1843-1907).
Ces deux personnes étaient des médecins qui avaient le droit de pratiquer la vaccination, Pasteur n’étant pas médecin.
Pasteur a su s’entourer de personnes qui pouvaient cautionner le résultat de ses recherches.
Il est chimiste… Pourtant, il a eu le bac en Lettres, qu’il obtient difficilement, et le bac scientifique. Il échoue à ce dernier la première fois et l’obtient la 2ème fois avec une mention « médiocre en chimie » ! Il se fait engager dans le laboratoire d’Antoine-Jérôme Balard (1802-1876) à Paris. Il extrapole certains travaux d’Antoine Jérôme Balard et mettra 8 ans pour démontrer que les cellules du vivant (molécules organiques) ont une constitution asymétrique. C’est une avancée majeure pour l’époque.
C’est un trait caractéristique dans sa manière de procéder : il reprend les recherches d’une personne et y apporte sa touche complémentaire en « oubliant » de citer qui est à l’origine des travaux.
Par exemple, la « pasteurisation » fut originellement trouvée par Nicolas Appert (1749-1841). Il la reprend en l’appliquant à la bière. Appert cherchait à conserver la nourriture sous vide en faisant des conserves. Ce principe provient aussi des travaux de recherches d’Ignace Philippe Semmelweis (1818-1865) qui mis en avant l’hygiène des mains (asepsie) après avoir cherché ce qui provoquait le décès en masse des femmes qui venaient accoucher aux hôpitaux. Alors que M. Semmelweis fut traité de fou à son époque alors qu’il s’agissait d’une grande avancée dans le domaine de l’hygiène, Pasteur récupéra ses travaux.
Il devint directeur de l’Ecole Normale où il manifeste les effets de l’éducation qu’il a eu de son père militaire strict qui avait fait un sacrifice financier pour ses études en école privé (où il ne resta pas longtemps au regret de son père). Pasteur est très discipliné mais il n’accepte aucune contestation, surtout lorsqu’il s’agit d’une croyance – même religieuse ! Il a failli faire expulser un élève -catholique- qui se considérait prêt se convertir au protestantisme. Pasteur ne pouvait envisager qu’un étudiant devienne « sans religion » si aucun expert était en mesure de prouver qu’il avait changé de religion.
Un jour, les élèves firent une grève qui sera appelée « la révolte des haricots-, protestant contre la qualité de la nourriture servie à la cantine. Pasteur refuse de céder et leur impose la même nourriture. 79 élèves sur 82 sont alors en grève. Pasteur ne se démonte pas : il leur interdit, en plus de ne plus fumer ! Une note révèle qu’il leur inflige cette punition, non pas à cause des événements, mais parce qu’ils ne l’ont pas obéi ! Pasteur démontre une personnalité très forte et dominatrice.
Malgré les pressions extérieures, Pasteur maintient sa position, ce qui lui valut d’être démis de son poste !
Mais il reçoit un lot de consolation : une chaire à la Sorbonne. Et c’est à ce poste qu’il reprend ses recherches à la demande de l’Empereur.
Une épidémie attaque 15% du cheptel des bovins et des moutons de la région de Chartres. Le ministère de l’agriculture lui demande d’aller sur place pour apporter une solution.
Il a une qualité : celle d’observer et d’avoir un esprit de synthèse. Il découvre que l’herbe des pâturages n’a pas la même couleur entre celles où sont les cheptels décimés et ceux qui sont indemnes. On découvre que des cadavres de bovins ou moutons malades avaient été enterrés sous certains pâturages où paissaient le reste du cheptel.
Il se demande comment la surface du sol a pu être « contaminée » par quelque chose qui vient de bien plus profond dans le sol. Puis, il saisit : ce sont les vers de terre, en remuant le sol !
Mais quelque chose l’intrigue : il donne sciemment des herbes provenant d’un « mauvais » pâturage à des bovins « sains » et il ne leur arrive « rien » !
Il découvre que les chardons mangés par ces animaux créent des incisions dans la langue et le palais : une plaie ouverte ! Voilà la « porte d’entrée » à la maladie !
Il rédigera ses recommandations : éviter de faire paître du cheptel aux endroits « contaminés » et que cette maladie n’est pas nuisible du moment que les bêtes n’ont pas de plaies dans la bouche (chardon).
Il a l’idée d’inventer un vaccin : il inocule la maladie sur un cheptel pour comparer avec un autre qui n’a pas reçu la substance du vaccin. Résultat : les moutons vaccinés ne meurent pas et tous les moutons non vaccinés meurent. Incroyable : du 100% des deux côtés. Mais des chercheurs italiens trouvent que c’est trop beau. Ils publieront leurs recherches sur le titre évocateur : « Le dogmatisme scientifique de l’illustre professeur Pasteur » et de l’usage qu’on en peut faire » (1883). En conclusion, ils disent « ce n’est pas possible ! » en reproduisant la même expérience.
Mais les médias français se réjouissent du succès de Pasteur en soulignant le fait que l’on est passé de 15% de décès de bovins à 1%. Un petit détail a été oublié : les vaches ne broutaient plus sur les pâturages « contaminés ».
Oups. Alors, comment les moutons non vaccinés sont-ils morts ? On vous laisse deviner.
Et voilà l’histoire du premier vaccin de Pasteur.
Il y aura aussi des vaccins pour les poules, sachant que ces dernières ont un système immunitaire qui leur permet d’éliminer les virus qui sont détruits « naturellement » puisque leur chaleur corporelle est de 42 degrés. Un virus est tué lorsqu’ils sont exposés à une chaleur à partir de 42 degrés.
Des américains, dans les années 90, ont voulu vérifier les travaux de Pasteur.
Gerald L. Geison, historien de la médecine est connu pour son ouvrage ‘The Private Science of Louis Pasteur’, publié en 1995, dans lequel il a examiné de manière critique les méthodes scientifiques de Pasteur, notamment en révélant que celui-ci avait intégré secrètement des découvertes d’un rival pour réussir son vaccin contre l’anthrax.
Il a également émis des doutes sur le développement du vaccin contre la rage qui impliquait des expérimentations humaines. Pour lui, la démarche de Pasteur n’utilise pas une approche scientifique et irait même jusqu’à utiliser -des fois- de la manipulation.
- Geison a été professeur à l’Université de Princeton pendant plus de 30 ans et a reçu plusieurs distinctions, dont le prix William H. Welch en 1996.
Les études qui font suite aux expériences cliniques après la mise au point d’une molécule démontrent qu’il n’y a jamais 100% de réussite – cela n’existe pas. La physiologie change trop d’un individu à un autre.
Et la rage, alors ?
C’est certainement la découverte de Pasteur qui est la plus connue. Nous sommes en 1885 et Pasteur a maintenant des années « d’expérience » derrière lui. Cette fois-ci, il met au point un vaccin, non pas pour dynamiser le système immunitaire en prévention, mais pour guérir.
Emile Roux dira plus tard que Pasteur s’est intéressé à la rage, une maladie qui touchait peu de cas, parce que cette maladie a un côté spectaculaire lorsqu’elle se déclenche. La victime se met à hurler, baver, le visage est défiguré… Tout pour faire peur ! C’est comme un appel à libérer une personne du démon !
Pour vous donner une idée des cas à l’époque, le docteur Michel Peter (1824-1893), dira qu’en 30 ans d’exercice, il n’aura vu que deux cas de rage.
Beaucoup de médecins rappelleront – dont Emile Roux – que la rage est enraillée à 99,99% par le système immunitaire, sans aucun médicament.
Et si le système immunitaire est bon, le corps a une bonne capacité à s’auto-guérir sans infecter son entourage. En effet, si le système DÉTRUIT l’élément fautif du pathogène, il ne peut plus transmettre ce dernier.
Revenons à cette rage.
Pasteur a du mal à trouver des animaux ayant cette maladie. Enfin, ils trouvent des lapins, mais le vaccin ne marche pas. Changement de tactique : Roux travaille de son côté et Pasteur du sien. Ils veulent trouver le moyen de transmettre cette maladie. Les mois passent : rien. Pasteur se présente, un jour, au bureau de Roux qui est absent. Il découvre qu’il a utilisé diverses formes de tubes sur la table. Roux a imaginé un système de courant d’air pour renouveler l’air. Cela lui donne une idée : il modifie l’imbrication des tubes pour obtenir un meilleur résultat. Roux entre dans son laboratoire et est furieux de voir que l’on a modifié son travail. Quand il découvre que c’est Pasteur qui l’a fait, il se fâche et part…
Comme la transmission ne fonctionne pas de chien à chien, Roux a une idée : il trépane la tête du chien pour inoculer le virus par ce biais. Pour ceux qui l’ignore, une trépanation est un trou circulaire que l’on fait dans un os, principalement dans la boîte crânienne, en utilisant un instrument qui s’appelle « le trépan » et qui ressemble à un foret. Et, Ô miracle ! Cela marche : la maladie est passée au chien. Ben oui… une blessure, une plaie ouverte qui peut s’infecter…
Ils auront quand même sacrifié des centaines de chiens malgré l’intervention d’associations de protections des animaux et du déménagement de leur laboratoire en banlieue.
Passer à l’expérimentation humaine
Pasteur pense qu’il faut passer à une étape supérieure. Il écrit à l’Empereur du Brésil, Pedro II (1825-1891) pour lui demander s’il peut utiliser des personnes condamnées à mort pour faire ses expériences pour sa cause (d’une maladie extrêmement peu fréquente – rappelons-le), qui permettrait de sauver l’humanité ?
Il voudrait leur inoculer la rage. L’Empereur ne fera jamais aucune réponse. Pasteur envoie un message aux hôpitaux parisiens en disant qu’Il serait prêt à intervenir s’il y avait des personnes atteintes de la rage. Il faut attendre. Puis un cas se présente : un homme atteint de rage. Pasteur fait une opération pour faire l’inoculation. Le ministère l’apprend et lui interdit de faire une deuxième intervention. L’homme s’enfui sans que l’on sache vraiment s’il avait la rage mais on annoncera sa mort plus tard.
Le premier patient
Le 6 juillet 1885, lorsque Joseph Meister, un jeune garçon de 9 ans mordu 14 fois par un chien enragé, est arrivé au laboratoire de Pasteur. Meister n’avait pas encore développé de symptômes, ce qui a permis à Pasteur de tenter une vaccination préventive. Il lui a administré 13 injections sur 10 jours, en utilisant des moelles de lapins rabiques de plus en plus atténuées, puis de plus en plus virulentes.
Ce premier essai humain a été, selon Pasteur, un succès : Meister n’a jamais contracté la rage… pour une maladie qui est combattue à 99,99% par un système immunitaire « normal » – rappelons-le ! Ah ! Mais sacrilège nous direz-vous ?
Détails souvent peu rapportés dans l’histoire : il y avait aussi le propriétaire du chien qui était présent. Son chien avait été abattu après avoir, non seulement mordu l’enfant, mais aussi son maître ! Et ce propriétaire ne sera pas « vacciné » et, pourtant…il n’aura pas la rage !
Les médias commencent à s’intéresser de près aux travaux de Pasteur, car ce petit Meister est Alsacien, région qui, à l’époque, était allemande. La presse allemande a commencé à critiquer vertement cette opération en disant qu’ils allaient tuer un jeune allemand alors que la presse française disait, au contraire, qu’on allait en sauver un…
Joseph Meister conserva des liens d’amitié avec Pasteur, et devint plus tard concierge de l’Institut Pasteur.
D’autres patients
Mais c’est un autre cas qui arrive quelques mois après Meyer qui va rendre public ses travaux au niveau international. Pasteur reçoit Jean-Baptiste Jupille, un berger de 15 ans profondément mordu par un chien enragé. Son équipe lui administre son vaccin antirabique entre le 20 et le 30 octobre 1885.
Cette fois-ci, les médias s’emparent du sujet et les premiers dons commencent à affluer.
Des enfants sont mordus en Amérique et font une traversée d’UN MOIS pour être traités – « avec succès »- par Pasteur.
En 1886, des paysans russes) mordus par un loup font un voyage à pied !!! Ils arrivent à paris 3 semaines plus tard pour être traités par Pasteur. Pas mal pour des « mourants » ! Même là, Pasteur hésite. Finalement, il les inocule : 16 sur 19 guérissent. Le miracle !
Jules Rouyer
Puis nous avons le petit Jules Rouyer. Il est présenté à Pasteur comme ayant la maladie depuis plusieurs jours après avoir été mordu par un chien enragé le 8 octobre 1886.
Pasteur venait de se remettre d’un accident vasculaire : il n’est pas présent. Mais, comme à son habitude, c’est son équipe de médecins qui s’occupe de ce cas. Ils ont décidé d’utiliser la même méthode expérimentale de vaccination contre la rage dite « intensive » que celle faite sur Joseph Meister en 1885.
Malheureusement, c’est le drame : le jeune enfant décède le 26 novembre 1886, soit un mois après le début de la thérapie.
C’est l’affaire « Rouyer » qui commence, car le père de l’enfant porte plainte remettant en cause l’efficacité du vaccin.
L’autopsie révéla que l’enfant était bien mort de la rage, mais les délais étaient incohérents avec une infection naturelle, ce qui souleva des doutes sur la cause de la mort.
Le médecin légiste Charles Brouardel (1837-1906), ami de Pasteur, voulu protéger la réputation de ce dernier. Il consulte Roux pour lui demander son avis. Roux croit dans le principe de la vaccination (il deviendra plus tard le dirigeant du premier Institut Pasteur) : le vaccin n’était peut-être pas prêt à passer au stade d’expérimentation humaine. Il faut pousser l’analyse : Brouardel demande la permission de faire un prélèvement de la moelle épinière du jeune Rouyer pour l’inoculer à des lapins « sains ». Au bout de quelques jours, les lapins se paralysent puis ils meurent. Constat : les lapins sont morts de la rage. Roux est catastrophé en apprenant la nouvelle. Brouardel est atterré devant cette remise en cause de la « découverte ».
Charles Brouardel et Roux ne veulent pas anéantir le principe de vaccination si l’échec est simplement dû à des expérimentations trop précoces.
Alors Brouardel rend un rapport d’autopsie incriminant le décès, non pas à la rage, mais à une insuffisance rénale. Il annoncera aussi que les lapins qui ont reçu l’inoculation continuent de gambader…
Ce témoignage fut perçu comme un faux par certains historiens avec pour seul objectif de conserver la confiance du public dans la vaccination.
Pauvre Smith
Plus tard, c’est un dénommé Smith qui se présente. Il a été mordu par un chat et les symptômes ne laissent aucun doute sur le fait qu’il a bien la rage. On lui administre le traitement et… il meurt.
Pasteur est catastrophé : il demande à son équipe de faire une enquête. Ils découvrent que ce Smith aimait bien le whisky ainsi que d’autres boissons qui vous montent à la tête… Ah, ben voilà la cause ! Un alcoolique ! Il a donc un système immunitaire déficient : le vaccin ne peut pas fonctionner ! La rage se multiplie dans ce ‘terrain’.
D’ailleurs, c’est étonnant de voir combien de cas de rage viennent le voir pour une maladie peu fréquente ! Désormais, la moindre morsure, et on suppose de suite avoir la rage !
Devant les « réussites » de Pasteur, les dons accumulés lui permettent de fonder le premier Institut Pasteur en 1888 qui devient le premier centre dédié à la vaccination contre la rage. Diminué par une série d’attaques, Pasteur participera à son inauguration sans pouvoir adresser la parole. C’est son fils Jean-Baptiste qui prononcera son discours.
Une théorie ?
Maintenant qu’on en sait un peu plus sur les expériences de Pasteur, pourquoi est-ce que l’on continue à nous imposer des vaccins dont certains semblent devoir être remis en cause ?
Par exemple, si on nous vaccine contre le tétanos, on sait que ce vaccin cible la toxine et non le bacille du tétanos : il faudrait une blessure très profonde et qu’elle soit infectée par quelque chose (du crottin de cheval, de vache…) pour avoir un système immunitaire défaillant si on voulait que le vaccin couvre ce cas de figure…
Conséquences ?
Même si vous avez eu le vaccin contre le tétanos et que vous vous blessez en vous coupant, on vous revaccinera.
Devrions-nous toujours parler de « vaccination » dans ce cas ? Une vaccination n’est-elle pas, justement, de nous préserver du risque dont elle devrait nous protéger ?
Le principe théorique de la vaccination, c’est inoculer un virus atténué. Mais que ce soit un virus « naturel » ou « déclenché », on le met au contact d’un système immunitaire. Se sont, normalement, deux choses naturelles qui sont mises en contact : le virus et le système immunitaire. Seule l’inoculation est une intervention humaine.
Donc, en gros, on provoque la maladie en l’inoculant.
On se dit qu’en atténuant la virulence du virus, on stimule le mécanisme du système immunitaire pour lui permettre de lutter contre ce virus.
Sauf que si on l’inocule et que le système immunitaire est trop diminué, trop faible, ce principe ne marche pas.
C’est pour cette raison que le principe d’adjuvants é été ajouté aux vaccins pour pallier à ce cas de figure. Les premiers adjuvants utilisés ont été du mercure puis de l’aluminium sachant que, depuis, la liste s’est allongée sur les vaccins qui existent de nos jours.
Or, des travaux du professeur Romain Gherardi (1952-) ont permis de démontrer que la toxicité de l’aluminium monte jusqu’au cerveau !
Est-ce que le « succès » des adjuvants ne viendrait pas, encore, d’une réaction du système immunitaire face à cette agression ?
Source : (1).
Selon la Bible
A la Genèse, Dieu a dit à chaque phase de Sa création que « C’était bon ».
Genèse 1 verset 25.
Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon.
La Bible nous enseigne que la maladie est venue après la chute de l’homme – Adam et Eve qui désobéirent à Dieu en voulant se séparer de Lui.
La maladie fait partie des malédictions qui font suite à cette séparation.
La nature nous enseigne que nous sommes tous uniques :
- Nos empreintes digitales
- La forme de nos oreilles, de notre iris
- Notre ADN…
La nature aussi apporte du bon : pendant des millénaires, on utilisait les plantes médicinales.
Que faut-il retenir ?
Après plusieurs années, Pasteur finit se forger une intime conviction : celle qu’il y aurait des microbes infiniment petits qui infecteraient notre corps, nous infligeant ainsi des maladies. C’était avant que la théorie des maladies microbiennes ne voie le jour. Il reprend le principe de la vaccination, tirée du principe variolisation – une ‘vaccination’ du virus de la variole qui était pratiquée par les chinois depuis longtemps.
Les carnets de Pasteur ne pouvaient pas être rendus publiques jusqu’à 100 ans après la mort de Pasteur. Pourtant, son petit-neveu choisira de le faire avant ce délai dans les années 70-80.
D’autres livres, hormis ceux cités dans l’article, ont recueillis les témoignages et travaux de contemporains de Pasteur : Emile Roux ; son neveu, Adrien Loir (1862-1941), qui publia un livre sur ce qu’il a vécu avec Pasteur.
Il y a donc des témoignages et écrits qui corroborent ce qui s’est passé pendant les travaux de Pasteur.
Pasteur a donné les fondements de la « médecine moderne ».
Alors ? Pasteur imposteur ou pas ? Nous vous laissons juger car cet article site des livres, des informations que chacun se doit de vérifier.
Mais on apprend n’ayant pas peur de poser des questions et de remettre en cause ce qui semblait être un « acquis ».
Ne faudrait-il pas davantage collaborer avec ce que la nature nous a donné au lieu de systématiquement « l’aider » ? Pourquoi dépenser systématiquement pour des traitements alors que le corps humain a une capacité d’auto-guérison importante ?
Pourquoi ne pas développer ce qui nous permettrait de personnaliser les traitements au plus juste pour mieux cibler ce qu’il faut ?
Est-ce bon d’allonger la liste et de cumuler autant de vaccins dans un corps ?
A force de vouloir trop contrôler, serions-nous, finalement allés trop loin ?
Qu’en pensez-vous ?
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Vous trouverez plus de détails, les références et les sources dans la section ci-dessous « En savoir plus… ».
Ce que dit la Bible
Commentaires | Écritures |
Référence (2) Une idée sur l’âge des premières générations avant le déluge. | Genèse 5 versets 4-23. 4 Les jours d’Adam, après la naissance de Seth, furent de huit cents ans; et il engendra des fils et des filles. 5 Tous les jours qu’Adam vécut furent de neuf cent trente ans; puis il mourut. 6 Seth, âgé de cent cinq ans, engendra Énosch. 7 Seth vécut, après la naissance d’Énosch, huit cent sept ans; et il engendra des fils et des filles. 8 Tous les jours de Seth furent de neuf cent douze ans; puis il mourut. 9 Énosch, âgé de quatre-vingt-dix ans, engendra Kénan. 10 Énosch vécut, après la naissance de Kénan, huit cent quinze ans; et il engendra des fils et des filles. 11 Tous les jours d’Énosch furent de neuf cent cinq ans; puis il mourut. 12 Kénan, âgé de soixante-dix ans, engendra Mahalaleel. 13 Kénan vécut, après la naissance de Mahalaleel, huit cent quarante ans; et il engendra des fils et des filles. 14 Tous les jours de Kénan furent de neuf cent dix ans; puis il mourut. 15 Mahalaleel, âgé de soixante-cinq ans, engendra Jéred. 16 Mahalaleel vécut, après la naissance de Jéred, huit cent trente ans; et il engendra des fils et des filles. 17 Tous les jours de Mahalaleel furent de huit cent quatre-vingt-quinze ans; puis il mourut. 18 Jéred, âgé de cent soixante-deux ans, engendra Hénoc. 19 Jéred vécut, après la naissance d’Hénoc, huit cents ans; et il engendra des fils et des filles. 20 Tous les jours de Jéred furent de neuf cent soixante-deux ans; puis il mourut. 21 Hénoc, âgé de soixante-cinq ans, engendra Metuschélah. 22 Hénoc, après la naissance de Metuschélah, marcha avec Dieu trois cents ans; et il engendra des fils et des filles. 23 Tous les jours d’Hénoc furent de trois cent soixante-cinq ans. |
Référence (3) Dieu réduisit l’espérance de vie de la race humaine quelques temps avant le déluge.
| Genèse 6 versets 3-6. Alors l’Éternel dit: Mon esprit ne restera pas à toujours dans l’homme, car l’homme n’est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. |
Référence (4) Après le déluge, l’espérance de vie a drastiquement diminué à 80 ans environ. | Psaumes 90 verset 10. Les jours de nos années s’élèvent à soixante-dix ans, Et, pour les plus robustes, à quatre-vingts ans; Et l’orgueil qu’ils en tirent n’est que peine et misère, Car il passe vite, et nous nous envolons. |
Sources externes
Articles :
En Français
- Référence (5) – Conseil-constitutionnel (.fr) page /publications/titre-vii/l-obligation-vaccinale-dans-le-monde –
Vidéos à rechercher (*):
En Français
- Référence (1) – YouTube – Jérémie Mercier – « Pasteur l’imposteur et l’arnaque des vaccins, avec Marc Menant » –
- YouTube – Joseph Prince en français – ‘Vivre sans stress
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