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Les Martyrs des Carmes

Les Martyrs des Carmes


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Gemmes

La Révolution Française bat son plein : en 1790, les prêtres n’ont plus le droit de prononcer leurs vœux.

Le 2 septembre 1792, 191 religieux sont massacrés par les révolutionnaires. Leur crime? Avoir refusé de prêter serment à la Constitution civile.

Que s’est-il réellement passé?

Regardons ensemble…

 

Que s’est-il passé?

Les Carmélites étaient présents à Paris depuis 1712, lorsque la Reine Médicis, après la mort de son mari le roi Henri IV, accepta la demande du Pape de faire installer les Carmes Déchaussés. Plusieurs religieux  vinrent alors d’Italie s’installer dans un quartier qui ne faisait pas encore partie de Paris à cette époque.

Ils bâtirent des édifices (un couvent, une église etc.) pour établir leur communauté.

 

Plusieurs années plus tard, la Révolution Française éclate. Dès 1790, la République interdit aux religieux de pouvoir prononcer leurs vœux. En effet, la République veut se substituer au Pape pour l’élection des curés et évêques. Ils sont contraints de prêter serment à la Constitution Civile du Clergé au lieu de le faire auprès du Pape.

 

Ils sont donc face à deux choix : se soumettre ou continuer dans la clandestinité.

 

126 évêques sur 130 refusèrent de se soumettre à ce nouvel ordre. Le couvent des Carmes fut abandonné puis réquisitionné et pillé (notamment la bibliothèque) par la jeune république pour la convertir en prison pour ces «réfractaires»,  prêtres ou évêques, qui refusent de se soumettre à leurs conditions. Ils sont traités comme des ennemis du peuple.

Cette jeune république qui a supprimé la monarchie se retrouve encerclée de pays qui voient en elle une menace. En 1792, les Prusses et les Autrichiens sont aux frontières, menaçant la sécurité de la France. La peur s’intensifie et les rumeurs colportent des bruits de complots venant de partisans de la Monarchie. Devant la résistance des religieux à se plier à la nouvelle norme «sociale», c’est tout «naturellement» que les autorités se tournent contre eux pour les désigner comme étant la source de tous leurs maux. Il faut bien un bouc émissaire pour détourner les gens de la peur du risque d’invasion.

 

Le couvent des Carmes abrite alors 191 prisonniers religieux :  3 évêques, 127 prêtres séculiers, 56 religieux et 5 laïcs qui furent arrêtés, réfractaires au serment et autres conditions du gouvernement. Chaque jour, ils sont autorisés à faire une «promenade» dans le jardin alentour.

Mais le 2 septembre 1792, leur sombre routine s’interrompt par l’irruption d’une groupe armé de «Sans culottes» tenant aux mains tout ce qui pouvait être utilisé comme arme :  épée, pieux, fourche, etc. Personne ne peut expliquer ce qui a déclenché leur irruption. Après avoir forcé la porte du jardin, ils s’en prennent immédiatement aux prêtres. L’un des révolutionnaires hurle : «Oû est l’Archevêque d’Arles?» qui est , à l’époque, connu.

Mais le premier à tomber est l’abbé Pierre-Michel Guérin dont le souvenir est commémoré par une colonne dans le jardin qui existe toujours aujourd’hui.  

L’Archevêque d’Arles est trouvé et tué de trois coups de sabres sur la tête. On lui enfonce un pic dans le corps et on lui prend sa montre. Fiers, ses assassins exhibent la montre en mettant un pied sur le corps et en chantant leur victoire. Le massacre continue : une dizaine de personnes tombent sous les coups.

Dans le désordre qui régnait alors, quelques-uns réussirent à s’enfuir, ce qui permettra de conserver des témoignages de ce qui s’est passé ce jour-là.

Les survivants se réfugient dans la Chapelle et se mettent à genoux au pied de la Croix, tous tremblants.

Ils sont abreuvés d’hurlements et d’injures par ceux qui les détiennent.

Puis le Commissaire Jean-Marie Violette, présent sur le lieu, décide de mettre un peu d’ordre, du moins en apparence, et exige qu’il y ait un procès. Les prisonniers sont amenés au sacristie du couvent, ce qui permet encore à certains de s’échapper. On leur hurle : avez-vous prêtez serment à la Constitution? Silence. Puis on leur dit :  C’est le serment ou vous mourrez tous!

Les prisonniers savent qu’ils n’ont que quelques minutes pour offrir leur vie à Dieu en offrande au pied de la Croix et de faire absolution.

La rage des révolutionnaires se décuple lorsqu’ils les voient se mettre à prier.

 

Personne ne croit en ce «procès» : les prisonniers savent qu’ils vont tous être massacrés jusqu’au dernier. Ils sont en prière malgré le bruit assourdissant des vociférations, des jurons et blasphèmes lancés contre eux.  La porte s’ouvre pour les faire passer un à la fois dans un couloir : le commissaire, assis à une table, leur pose une question pour leur offrir une ultime possibilité d’échapper à la mort : voulez-vous prêter serment à la Constitution? Malgré l’ambiance de terreur qui règne à ce moment-là, chaque prisonnier refusera de s’y plier.

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Attendant leur tour, les prisonniers entendent tout ce qui se passe : les coups donnés avec les pics, les haches, les sabres, les hurlements de celui qu’on est en train de massacrer puis les clameurs des tortionnaires qui se réjouissent d’avoir assassiné un des leurs aux cris de «Vive la Nation». Puis la porte s’ouvre à nouveau pour laisser entrer un autre prisonnier dans le couloir de la mort… Plusieurs diront avant de mourir : «Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font»… Les paroles du Christ sur la croix! Tous furent massacrés jusqu’au dernier.

Un Abbé rescapé témoignera plus tard : «je n’ai entendu aucun d’entre eux se plaindre». Ils seront restés dans une paix surnaturelle jusqu’au bout, sans avoir de la haine pour ceux qui faisaient ce massacre.

Leurs cadavres seront jetés dans un puits et tomberont dans l’oubli avant de revoir la lumière des années plus tard pour être conservés dans la crypte de l’église.

On a même gardé, derrière une vitrine, le pan de mur qui montre les traces de sang qui se sont écoulées le long des armes qui ont servi au massacre.

Ces traces d’armes ensanglantées sont la preuve de la boucherie de ce jour-là.

Après la période qui fut appelée «la Grande Terreur», une religieuse, la sœur Camille, racheta une partie de ces murs pour y faire construire un couvent plus modeste et discret. Ce lieu deviendra une plaque tournante des Carmélites qui continueront d’agir dans la clandestinité. Elle restaure aussi le bâtiment et y fait ériger une chapelle pour commémorer le souvenir de ces martyres.

 

Témoignage d’un des rescapés

Voici un extrait de ses lettres (source : références indiquées dans la section «En savoir plus»).

  • [Le 2 septembre 1792, vers] les quatre heures, nous entendons de grandes clameurs au voisinage. Peu de temps après nous apercevons un groupe de forcenés qui nous montrent leurs piques au travers des barreaux d’une fenêtre. Nous ne doutâmes plus alors qu’ils ne vinssent pour nous égorger et nous empressâmes de nous demander et donner les uns aux autres l’absolution.

    Je ne quittai point M. L’archevêque [d’Arles] ; la force et la tranquillité qu’il conservait à la vue du danger que nous courions, me soutenait au milieu de mes alarmes. Notre garde ne tarda pas à disparaître. Les assassins entrent dans le jardin armés de fusils à baïonnettes, de piques et de pistolets. Ils massacrent le premier qu’ils rencontrent. Un d’eux devance les autres et vint au-devant de M. l’archevêque et de moi. « Es-tu l’archevêque d’Arles » me dit-il en frémissant de rage. Je ne lui fis d’autre réponse que de hausser les épaules. « C’est donc toi », reprit le furieux en s’adressant cette fois à M. l’archevêque. « Oui je le suis », répondit-il aussitôt avec une contenance ferme et modeste. « C’est donc toi, reprit ce monstre, qui a fait répandre tant de sang à Arles. — Moi, répond encore M. l’archevêque, je ne sache pas avoir fait du mal à personne. – Tu n’as fait de mal à personne scélérat ! répartit encore ce misérable. Eh bien, je vais t’en faire à toi », et aussitôt il fond sur lui comme un tigre furieux et lui décharge un grand coup de sabre sur la tête. À ce premier coup, M. L’archevêque joint ses mains et s’en couvre le visage et, sans faire la moindre plainte, reçoit de ce forcené la mort à laquelle il s’était si bien préparé pendant sa captivité.

    (…)

    Ce qui étonnera sans doute, c’est que je n’ai pas entendu se plaindre aucun de ceux que je vis massacrer. Plusieurs de ceux qui avaient été se réfugier dans la chapelle [du jardin] reçurent la mort en offrant à Dieu le sacrifice de leur vie. Après avoir un peu assouvi leur rage, les assassins nous ordonnent de rentrer dans l’église sans cesser de nous tirer des coups de fusils. (…) Nous restâmes là quelque temps à prier et à gémir de tous les blasphèmes et de toutes les horreurs que vomissaient ces forcenés.

    (…)

    On nous ordonne de cesser nos prières et de nous lever ce que nous fîmes aussitôt. Un d’eux nous demande alors d’un ton terrible et menaçant : « avez-vous prêté le serment ? » Comme je me trouvais le plus près d’eux, je leur répondis que pas un de nous n’avait prêté ni ne prêterait ce serment ; que je devais seulement leur observer que la plupart d’entre nous n’y étaient pas obligés et que la loi laissait la liberté aux autre de la prêter ou non. « C’est égal, reprirent-ils alors ; passez, passez, votre compte est fait ».

 

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Source : Propres des Diocèses de Paris, Créteil, Nanterre et Saint-Denis – Liturgie des Heures, pages 103-104.

Le manuscrit reproduit par phototypie a été édité en 1913 sous le titre Les massacres du 2 septembre 1792 à la prison des Carmes à Paris, reproduction du manuscrit de l’abbé de Lapize de la Pannonie avec introduction par Mgr de Teil aux éditions Desclée, de Brouwer & Cie. Il est consultable sur Gallica.

 

 

Bilan des massacres après la Révolution

Le mot «martyr» veut dire «témoignage» : c’est un don de soi où l’on peut aller jusqu’à sacrifier sa vie pour être un témoin.

Rien qu’à Paris pendant le seul mois de Septembre 1792, la Révolution a mis à mort 3’000 victimes religieuses dont les 191 du couvent des Carmes.

A la fin de la Révolution on estime qu’il y a eu 130’000 religieux massacrés. Il restera seulement 35’000 prêtres dans le pays. Une nouvelle génération se lèvera sans instruction religieuse.

En 1812, lors d’un recensement, 95% de la population répond malgré tout qu’elle est catholique, même si beaucoup moins de personnes mettent le pied à l’église. Beaucoup furent touché par différentes figures religieuses qui marquèrent leur époque.

En 1945, le Diocèse de Paris rachète la propriété du Couvent des Carmes pour en faire l’Institut des Hautes Études Ecclésiastiques  pour former des prêtres qui étudient à la Sorbonne, ce qui est toujours le cas de nos jours. Ce lieu rappelle aux étudiants que certains ont fait don à dieu de leur vie. Un des étudiants au XXème siècle est lui aussi devenu  martyr pour sa foi.

Les 191 martyrs des Carmes seront béatifiés en 1926 par le Pape Pie XI. La date du 2 septembre commémore chaque année le sacrifice des «martyrs des Carmes» sur le calendrier liturgique. Un seul d’entre eux sera canonisé pour devenir un Saint par le Pape François en 2016 : le frère Salomon Le Clercq. Ce dernier avait écrit dans une de ses correspondances qu’il «ne voulait plaire qu’à Dieu seul».

 

Le 15 août 1792, alors qu’il ignore qu’il n’est qu’à un mois de devenir prisonnier et de faire un sacrifice ultime, Salomon Le Clercq écrit à sa sœur que :

  •  « les tribulations que nous éprouvons ici-bas sont passagères, et la récompense que nous espérons sera éternelle ».

 

 

Selon la Bible

Jésus n’a jamais caché à ses disciples, à tous ceux qui le suivraient, qu’ils seraient persécutés. Des gens chercheraient à les persécuter tout comme ils s’en sont pris à Lui parce qu’ils ne connaissent ni Lui, ni le Dieu véritable:

 

Jean 15 versets 20-21.

  • Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite: Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre.
    Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas celui qui m’a envoyé.

Jésus nous indique quelle attitude à avoir dans pareille situation :

Matthieu 5 versets 10, 12.

  • Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux!
    (
    …)
    Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les cieux; car c’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui ont été avant vous.
    Un croyant ne doit pas trouver ces épreuves comme quelque chose d’étrange. Dieu ne manque pas de nous donner son Esprit de gloire dans de telles situations :

 

1 Pierre 4 versets 12-14.

  • Bien-aimés, ne soyez pas surpris, comme d’une chose étrange qui vous arrive, de la fournaise qui est au milieu de vous pour vous éprouver. Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans allégresse lorsque sa gloire apparaîtra. Si vous êtes outragés, pour le nom de Christ, vous êtes heureux, parce que l’Esprit de gloire, l’Esprit de Dieu, repose sur vous.

La Bonne Nouvelle, c’est que Dieu nous soutient avec Son Esprit si un jour nous devons subir de telles souffrances :

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Luc 21 versets 12-15.

  • Mais, avant tout cela, on mettra la main sur vous, et l’on vous persécutera; on vous livrera aux synagogues, on vous jettera en prison, on vous mènera devant des rois et devant des gouverneurs, à cause de mon nom.
    Cela vous arrivera pour que vous serviez de témoignage.
    Mettez-vous donc dans l’esprit de ne pas préméditer votre défense; car je vous donnerai une bouche et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront résister ou contredire.

 

 

Que faut-il retenir ?

La Révolution a voulu soumettre l’église à l’autorité de leur gouvernement. Elle a voulu d’abord l’assujettir puis l’anéantir.

Deux tiers des religieux refuseront de s’y soumettre et entreront dans la clandestinité.

Les martyrs des Carmes firent preuve d’un calme et attitude qui renforcent le fait que Dieu les a soutenu au milieu de cette tragédie.

 

André Malraux avait déclaré :

  • Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas ».

Cette phrase, attribuée à tort à André Malraux, montre bien que la religion et la spiritualité font parties inhérentes de l’homme et que ni rien ni personne pourront éradiquer les croyances.

 

La Révolution ne réussira pas à anéantir l’église.

 

Alexandre Soljenitsyne dans son discours sur la Révolution de 1993 a fait un constat assez frappant de la notion de «Fraternité» républicaine :

  • (la) fraternité, elle n’est pas de leur famille. Ce n’est qu’un aventureux ajout au slogan et ce ne sont pas des dispositions sociales qui peuvent faire la véritable fraternité. Elle est d’ordre spirituel.

La révolution n’a pas inclus les religieux dans leur «fraternité». Est-ce qu’elle choisirait ses frères?

Pourquoi voyait-elle à ce point les religieux comme des ennemis? Si nous sommes toujours dans une République qui est dans la lignée de la Révolution, est-ce que les gens religieux seraient toujours perçus comme une menace?

La grande question est : «Dans quelle sorte de République vivons-nous aujourd’hui»? Est-ce que cette volonté d’éradiquer la religion existe toujours?

Est-ce que l’histoire du massacre des martyrs des Carmes risque de se répéter un jour?

 

Je vous laisse réfléchir.

 

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Plus de détails, sources et références sont donnés dans la section ci-dessous « En savoir plus… ».

 

Sources externes

Livres

St Salomon le clercs éd artèges 

Les carmélites martyrs d’orange De Compiègne

Sites web :

En Français

Articles :

En Français

Vidéos à rechercher (*) :

En Français

  • Cnews (.fr) – Les Belles Figures de l’Histoire – Émission du 3 septembre 2022 sur les Martyrs des Carmes
  • YouTube -KOTV –  Frère Salomon, nouveau saint français
  • YouTube – Joseph Prince – Vivre sans stress

Copyright

  • Louis Segond (LSG) by Public Domain sauf si spécifié autrement.
  • (*) Les liens Youtube ne sont pas autorisés sur le texte d’un article. Vous devez rechercher la vidéo en utilisant les informations mentionnées.
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